Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce lundi, subissant les craintes au sujet des perspectives économiques mondiales et de leur impact sur la demande future.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 93,62 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93,26 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0,9%.
La corbeille new-yorkaise sera aujourd'hui inactive, en hommage aux personnes tombées au champ d'honneur, et toutes les transactions électroniques seront effectuées au cours de la journée de mardi.
Les cours avaient plongé jeudi jusqu'à 92,24 USD, leur pire cours en trois semaines, après qu'un rapport ait révélé que l'activité des usines chinoises avait subi ce mois-ci sa première contraction en sept mois.
La première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'ambiance se trouvait aussi plombée par les hésitations concernant les chances de poursuite ou non des aides à l'économie américaine.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, avait semé la confusion en rappelant mercredi qu'une réduction des 85 milliards d'USD de son programme de rachats d'actifs "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont cédé 0,3% pour glisser à 102,32 USD du baril dans le même temps, soit 8,70 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart a fondu en début de mois jusqu'à être le plus faible depuis janvier 2011, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 93,62 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,55%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93,26 USD, leur cours le plus bas du jour, avec un passage à vide de 0,9%.
La corbeille new-yorkaise sera aujourd'hui inactive, en hommage aux personnes tombées au champ d'honneur, et toutes les transactions électroniques seront effectuées au cours de la journée de mardi.
Les cours avaient plongé jeudi jusqu'à 92,24 USD, leur pire cours en trois semaines, après qu'un rapport ait révélé que l'activité des usines chinoises avait subi ce mois-ci sa première contraction en sept mois.
La première évaluation de l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier établi par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, est ainsi passé des 50,4 définitifs d'avril vers 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance dans ce domaine.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
L'ambiance se trouvait aussi plombée par les hésitations concernant les chances de poursuite ou non des aides à l'économie américaine.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, avait semé la confusion en rappelant mercredi qu'une réduction des 85 milliards d'USD de son programme de rachats d'actifs "dès les prochaines prises de cap" en cas de poursuite de l'amélioration des résultats économiques était possible.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont cédé 0,3% pour glisser à 102,32 USD du baril dans le même temps, soit 8,70 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leur écart a fondu en début de mois jusqu'à être le plus faible depuis janvier 2011, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.