Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, approchant un pic de quantre ans et demi contre son homologue nippon, tandis que l'européen se retrouvait au plus bas des six semaines écoulées au vu de l'aggravation sur les trois preiers mois de l'année de la récession dans la région où il a cours.
En première partie de séance européenne, il a pris l'avantage sur le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,15% pour se hisser à 102,39.
Il avait pourtant connu un passage à vide après qu'il ait été montré hier que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés.
Les yeux étaient désormais tournés pour la fin de journée vers le nombre des permis de construire qu'ils auont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de leur inflation au détail, sur fond de bruits peu crédibles selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Les autorités du Japon ont pour leur part constaté que l'économie nationale avait bondi de 0,9% entre début janvier et fin mars, dépassant ainsi les 0,7% envisagés.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,23% pour tomber à 1,2858, approchant d'une ornière de six semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée après qu'il ait été montré la veille que l'économie du bloc où elle a cours avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Cette contre-performance a du coup ravivé les espoirs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque Centrale Européenne, bien que celle-ci ait déjà raboté en début de mois son taux directeur jusqu'à 0,5%, sa plus basse valeur de tous les temps.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,19% pour chuter à 1,5206 et l'USD/CHF grignotant 0,50% pour culminer à 0,9695.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,88% pour se retrouver à 0,9809, le NZD/USD se laissant arracher 0,90% pour toucher le fond à 0,8164 et l'USD/CAD prenant 0,29% pour monter à 1,0186.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,18% pour se situer à 84,06.
En première partie de séance européenne, il a pris l'avantage sur le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,15% pour se hisser à 102,39.
Il avait pourtant connu un passage à vide après qu'il ait été montré hier que la production industrielle des Etats-Unis avait flanché de 0,5% le mois passé, à la place des 0,2% déjà redoutés.
Les yeux étaient désormais tournés pour la fin de journée vers le nombre des permis de construire qu'ils auont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, sans oublier les chiffres officiels de leur inflation au détail, sur fond de bruits peu crédibles selon lesquels la Réserve Fédérale pourrait mettre prématurément fin à son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Les autorités du Japon ont pour leur part constaté que l'économie nationale avait bondi de 0,9% entre début janvier et fin mars, dépassant ainsi les 0,7% envisagés.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,23% pour tomber à 1,2858, approchant d'une ornière de six semaines.
La monnaie unique demeurait fragilisée après qu'il ait été montré la veille que l'économie du bloc où elle a cours avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
Cette contre-performance a du coup ravivé les espoirs d'accommodements supplémentaires de la part de la Banque Centrale Européenne, bien que celle-ci ait déjà raboté en début de mois son taux directeur jusqu'à 0,5%, sa plus basse valeur de tous les temps.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi subi sa pression, le GBP/USD glissant de 0,19% pour chuter à 1,5206 et l'USD/CHF grignotant 0,50% pour culminer à 0,9695.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,88% pour se retrouver à 0,9809, le NZD/USD se laissant arracher 0,90% pour toucher le fond à 0,8164 et l'USD/CAD prenant 0,29% pour monter à 1,0186.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,18% pour se situer à 84,06.