Investing.com - L'euro était en bonne forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, l'espoir prudent que la Grèce soit sur le point de remplir les conditions nécessaires à l'attribution de son second plan de secours encourageant la demande pour les valeurs audacieuses.
En fin de première partie de séance européenne, il faisait fléchir le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.14% pour se hisser à 1.3278.
Lucas Papademos, premier ministre grec, avait fait savoir après les débats d'hier que les dirigeants politiques étaient sur la même longueur d'ondes concernant la mise en place des mesures d'austérité nécessaires pour obtenir son prochain programme d'aides, mais que le problème des diminutions des retraites proposées demeurait.
Il a d'autre part assuré que les pourparlers sur la question avec les bailleurs de fonds internationaux se poursuivraient afin d'arriver à une conclusion avant la réunion des ministres des finances européens prévue en cours de journée.
Les investisseurs guettaient aussi la réunion d'orientation de la BCE d'aujourd'hui, qui devrait vraisemblablement préfigurer une baisse des taux pour le mois prochain.
La monnaie unique a toutefois cédé quelques pouce de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.02% pour glisser à 0.838.
Une étude officielle avait auparavant montré que la production industrielle britannique avait nettement dépassé les attentes pour décembre, mettant fin à trois mois de disette, imitée dans une moindre mesure par l'industrielle.
Une autre signalait pour sa part que le déficit de la balance commerciale nationale avait davantage fondu en janvier que ne le pensaient les spécialistes, passant de 8.9 milliards de GBP après révision à la hausse à 7.1 milliards.
L'éventuelle mise en place de 50 milliards de livres d'assouplissement monétaire supplémentaires par la Banque d'Angleterre au cours de sa réunion d'orientation politique de la mi-journée était quand à elle très attendue.
Le yen a par contre subi sa pression, et le franc suisse aussi dans une moindre mesure, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour grimper à 102.44 et l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se retrouver à 1.2103.
Il avait été indiqué en début de matinée que le baromètre de l'humeur des consommateurs helvètes avait légèrement dépassé les prédictions pour janvier.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient toutefois dangereusement proches, l'EUR/AUD arrachant 0.01% pour culminer à 1.2281 et l'EUR/NZD dérapant de 0.14% pour descendre à 1.5868.
Le kiwi s'était pourtant retrouvé sur la sellette après que des résultats émanant des autorités aient mis en évidence une avancée de seulement 0.1% du nombre des salariés, pour un total de 2.221 millions au quatrième trimestre, au lieu des 0.4% espérés.
Il était cependant précisé que le taux de chômage était tombé à 6.3%, son plus bas niveau en 21 mois, mais en raison d'une forte hausse du travail partiel.
Le dollar canadien lui a bien résisté, l'EUR/CAD raflant 0.02% pour s'établir à 1.3209.
Les Etats-Unis rendront quand à eux dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, il faisait fléchir le dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.14% pour se hisser à 1.3278.
Lucas Papademos, premier ministre grec, avait fait savoir après les débats d'hier que les dirigeants politiques étaient sur la même longueur d'ondes concernant la mise en place des mesures d'austérité nécessaires pour obtenir son prochain programme d'aides, mais que le problème des diminutions des retraites proposées demeurait.
Il a d'autre part assuré que les pourparlers sur la question avec les bailleurs de fonds internationaux se poursuivraient afin d'arriver à une conclusion avant la réunion des ministres des finances européens prévue en cours de journée.
Les investisseurs guettaient aussi la réunion d'orientation de la BCE d'aujourd'hui, qui devrait vraisemblablement préfigurer une baisse des taux pour le mois prochain.
La monnaie unique a toutefois cédé quelques pouce de terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.02% pour glisser à 0.838.
Une étude officielle avait auparavant montré que la production industrielle britannique avait nettement dépassé les attentes pour décembre, mettant fin à trois mois de disette, imitée dans une moindre mesure par l'industrielle.
Une autre signalait pour sa part que le déficit de la balance commerciale nationale avait davantage fondu en janvier que ne le pensaient les spécialistes, passant de 8.9 milliards de GBP après révision à la hausse à 7.1 milliards.
L'éventuelle mise en place de 50 milliards de livres d'assouplissement monétaire supplémentaires par la Banque d'Angleterre au cours de sa réunion d'orientation politique de la mi-journée était quand à elle très attendue.
Le yen a par contre subi sa pression, et le franc suisse aussi dans une moindre mesure, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour grimper à 102.44 et l'EUR/CHF grignotant 0.03% pour se retrouver à 1.2103.
Il avait été indiqué en début de matinée que le baromètre de l'humeur des consommateurs helvètes avait légèrement dépassé les prédictions pour janvier.
Les récents planchers historiques par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise demeuraient toutefois dangereusement proches, l'EUR/AUD arrachant 0.01% pour culminer à 1.2281 et l'EUR/NZD dérapant de 0.14% pour descendre à 1.5868.
Le kiwi s'était pourtant retrouvé sur la sellette après que des résultats émanant des autorités aient mis en évidence une avancée de seulement 0.1% du nombre des salariés, pour un total de 2.221 millions au quatrième trimestre, au lieu des 0.4% espérés.
Il était cependant précisé que le taux de chômage était tombé à 6.3%, son plus bas niveau en 21 mois, mais en raison d'une forte hausse du travail partiel.
Le dollar canadien lui a bien résisté, l'EUR/CAD raflant 0.02% pour s'établir à 1.3209.
Les Etats-Unis rendront quand à eux dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.