Investing.com - Les bourses européennes ont plongé après l'ouverture ce mardi, alors que les intervenants engrangeaient leurs gains récents et guettaient de nouveaux résultats économiques de la part des Etats-Unis afin de dégager une tendance claire.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 0.85%, le CAC 40 français de 0.95%, et le DAX 30 allemand de 0.8%.
Ces pertes faisaient suite à une session asiatique peu reluisante, l'absence d'évènements marquants tandis que les places japonaises demeuraient closes pour cause de jour férié entraînant peu de mouvements.
Les constructeurs automobiles se sont retrouvés avec le bonnet d'âne en début de matinée, l'angoise d'un ralentissement de la croissance de la Chine d'une gravité supérieure aux craintes nuisant aux prévisions portant sur les besoins du pays.
L'allemand BMW s'est ainsi effondré de 4.15% rpès que Goldman Sachs l'ait retiré de sa liste d'achats certains, tandis que ses rivaus Daimler et Volkswagen reculaient respectivement de 3.45 et 2.55%.
En France, Peugeot a reculé de 2.7% et Renault de 2.75%.
Les prix chinois du carburant ont subi hier leur seconde augmentation en moins de six semaines, laissant à craindre que perte de souffle de la part de l'économie majeure connaissant la croissance la plus fulgurante de la planète.
Un ralentissement profond de la seconde économie du monde nuirait à une relance déjà malmenée par la crise de la dette européenne.
La finance n'a guère mieux fait, au lendemain de l'adjudication grecque destinée à liquider les cntrats de couverture de défaillance concernant ses obligations, la Société Générale se repliant de 1% et la Deutsche Bank de 0.6%.
Leur collègue italien Unicredit a toutefois arraché 0.5%, tous les yeux étant tournés vers les négociations visant à réformer l'économie nationale.
Parmi les autres bonnes nouvelles, Deutsche Lufthansa a gagné 0.8% après que l'UBS en ait remonté son appréciation de "neutre" vers "acheter".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fondu de 0.8%, tiré vers le bas par des miniers plombés par le spectre d'une diminution des besoins chinois, premier demander de nombreuses matières premières.
Le mastodonte BHP Billiton a ainsi subi un revers de 2.2% après qu'il ait été rapporté que son président aurait évoqué une réévaluation de ses plans d'investissements au vu de la perte de vitesse de la progression chinoise, ajoutant que la demande en minerai de fer du pays "atteignait un plateau".
Ces remarques ont aussi nui à son concurrent Rio Tinto, dérapant ainsi de 2.9%, tandis que les cuivriers Kazakhmys et Xstrata laissaient échapper 3.1 et 2.2%.
ARM Holdings a toutefois nagé à contre-courant, avec 0.85% d'amélioration après que Barlays Capital l'ait passé de "poids neutre" à "poids lourd".
Les perspectives des marchés américains partageaient leur pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4% également.
Les Etats-Unis annonceront le nombre officiel des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que leurs informations sur le nombre de chantiers entamés, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, participera à une conférence à Washington, et que ses propos seront décortiqués en détail.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a dégringolé de 0.85%, le CAC 40 français de 0.95%, et le DAX 30 allemand de 0.8%.
Ces pertes faisaient suite à une session asiatique peu reluisante, l'absence d'évènements marquants tandis que les places japonaises demeuraient closes pour cause de jour férié entraînant peu de mouvements.
Les constructeurs automobiles se sont retrouvés avec le bonnet d'âne en début de matinée, l'angoise d'un ralentissement de la croissance de la Chine d'une gravité supérieure aux craintes nuisant aux prévisions portant sur les besoins du pays.
L'allemand BMW s'est ainsi effondré de 4.15% rpès que Goldman Sachs l'ait retiré de sa liste d'achats certains, tandis que ses rivaus Daimler et Volkswagen reculaient respectivement de 3.45 et 2.55%.
En France, Peugeot a reculé de 2.7% et Renault de 2.75%.
Les prix chinois du carburant ont subi hier leur seconde augmentation en moins de six semaines, laissant à craindre que perte de souffle de la part de l'économie majeure connaissant la croissance la plus fulgurante de la planète.
Un ralentissement profond de la seconde économie du monde nuirait à une relance déjà malmenée par la crise de la dette européenne.
La finance n'a guère mieux fait, au lendemain de l'adjudication grecque destinée à liquider les cntrats de couverture de défaillance concernant ses obligations, la Société Générale se repliant de 1% et la Deutsche Bank de 0.6%.
Leur collègue italien Unicredit a toutefois arraché 0.5%, tous les yeux étant tournés vers les négociations visant à réformer l'économie nationale.
Parmi les autres bonnes nouvelles, Deutsche Lufthansa a gagné 0.8% après que l'UBS en ait remonté son appréciation de "neutre" vers "acheter".
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a fondu de 0.8%, tiré vers le bas par des miniers plombés par le spectre d'une diminution des besoins chinois, premier demander de nombreuses matières premières.
Le mastodonte BHP Billiton a ainsi subi un revers de 2.2% après qu'il ait été rapporté que son président aurait évoqué une réévaluation de ses plans d'investissements au vu de la perte de vitesse de la progression chinoise, ajoutant que la demande en minerai de fer du pays "atteignait un plateau".
Ces remarques ont aussi nui à son concurrent Rio Tinto, dérapant ainsi de 2.9%, tandis que les cuivriers Kazakhmys et Xstrata laissaient échapper 3.1 et 2.2%.
ARM Holdings a toutefois nagé à contre-courant, avec 0.85% d'amélioration après que Barlays Capital l'ait passé de "poids neutre" à "poids lourd".
Les perspectives des marchés américains partageaient leur pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4% également.
Les Etats-Unis annonceront le nombre officiel des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que leurs informations sur le nombre de chantiers entamés, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale du pays, participera à une conférence à Washington, et que ses propos seront décortiqués en détail.