Réagissant à la révision en hausse de la croissance du PIB de la zone euro au deuxième trimestre, Natixis relève sa prévision de croissance pour l'ensemble de l'année 2015 à +1,5%, contre +1,3% en estimation précédente.
Eurostat a révisé son estimation de la croissance au deuxième trimestre, à +0,4% contre +0,3% en estimation rapide, mais aussi celle pour le premier, à +0,5% contre +0,4%.
'Les données détaillées, qui n'étaient pas disponibles initialement, montrent que la croissance a été principalement tirée par le commerce extérieur, puisque les exportations (+1,6%) se sont accrues de façon plus dynamique que les importations', note Natixis.
'Les indicateurs avancés pointent une perspective de croissance favorable pour le reste de l'année et nous continuons de voir certains facteurs qui devraient soutenir la reprise économique de la zone euro', poursuit la banque française, qui cite la politique monétaire expansionniste de la BCE, l'euro bas et le pétrole bon marché.
Natixis reconnait certes que l'environnement externe est devenu plus difficile pour la zone euro et que le ralentissement des marchés émergents comme la Chine va l'affecter, mais il estime qu'elle peut faire avec.
La résilience de l'euro conduit toutefois la banque à ajuster en baisse sa prévision de croissance du PIB de la zone pour l'année 2016, passant de +1,7% à +1,6%.
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Eurostat a révisé son estimation de la croissance au deuxième trimestre, à +0,4% contre +0,3% en estimation rapide, mais aussi celle pour le premier, à +0,5% contre +0,4%.
'Les données détaillées, qui n'étaient pas disponibles initialement, montrent que la croissance a été principalement tirée par le commerce extérieur, puisque les exportations (+1,6%) se sont accrues de façon plus dynamique que les importations', note Natixis.
'Les indicateurs avancés pointent une perspective de croissance favorable pour le reste de l'année et nous continuons de voir certains facteurs qui devraient soutenir la reprise économique de la zone euro', poursuit la banque française, qui cite la politique monétaire expansionniste de la BCE, l'euro bas et le pétrole bon marché.
Natixis reconnait certes que l'environnement externe est devenu plus difficile pour la zone euro et que le ralentissement des marchés émergents comme la Chine va l'affecter, mais il estime qu'elle peut faire avec.
La résilience de l'euro conduit toutefois la banque à ajuster en baisse sa prévision de croissance du PIB de la zone pour l'année 2016, passant de +1,7% à +1,6%.
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