Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi après-midi, profitannt de l'attente d'une poursuite des injections de la banque centrale des Etats-Unis jusqu'en 2014 et de bons résultats industriels chinois.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,50% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,49%.
Les cours sont en effet remontés dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par le marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
L'ambiance s'est par ailleurs allégée après qu'il ait été montré à l'aube que la première lecture de l'indice manufacturier établi par la banque HSBC pour octobre avait gonflé depuis 50,2 vers 50,9 pour octobre, son plus haut niveau en sept mois, alors qu'un sursaut à seulement 50,5 était espéré.
Cette bonne surprise allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de mettre un frein à l'inflation.
La finance était dans la tourente, après que Morgan Stanley et la Bank of America aient déclaré que l'époque du paiement de gros bonus destinés à attirer leurs opérateurs de leurs concurrents et fidéliser les leurs pourrait toucher à sa fin.
Ils ont du coup respectivement laissé échapper 0,38 et 0,56% après la clôture.
Il était aussi à noter que Countrywide, une succursale du second, avait été déclarée responsable par des jurés de ventes frauduleuses de prêts toxiques à Fannie Mae et Fredie Mac, au cours du premier procès sur la question, qui pourrait bien ne pas être le dernier.
Sur le front technologique, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard trébuchait de 0,08% après la fin des hostilités sur fond de rumeurs selon lesquelles il chercherait à revendre certains de ses brevets portant sur la téléphonie mobile, afin de renflouer sa trésorerie.
Le fabricant d'équipements cardiologiques Boston Scientific bondissait par contre de 0,98% dans le même temps, se réjouissant de l'annonce de 1.100 à 1.500 licenciements d'ici 2015 dans le cadre d'une nouvelle restructuration.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Ford, 3M, Amazon.com, Microsoft, Western Digital et Zynga, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,59%, le CAC 40 français de 0,24%, le DAX 30 allemand de 0,72% et le FTSE 100 britannique de 0,47%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,71%, mais le Nikkei 225 japonais arrachait 0,42%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,49%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,50% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,49%.
Les cours sont en effet remontés dans le sillage de la déception pour septembre causée en début de semaine par le marché de l'emploi où il a cours, renforçant les probabilités que la Réserve Fédérale repousse la fermeture du robinet de ses injections de liquidités jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien avancée.
L'ambiance s'est par ailleurs allégée après qu'il ait été montré à l'aube que la première lecture de l'indice manufacturier établi par la banque HSBC pour octobre avait gonflé depuis 50,2 vers 50,9 pour octobre, son plus haut niveau en sept mois, alors qu'un sursaut à seulement 50,5 était espéré.
Cette bonne surprise allait à l'encontre du spectre planant sur l'économie de la Chine, au lendemain du frisson ayant parcouru les marchés suite aux rumeurs selon lesquelles sa banque centrale durcirait sa politique monétaire afin de mettre un frein à l'inflation.
La finance était dans la tourente, après que Morgan Stanley et la Bank of America aient déclaré que l'époque du paiement de gros bonus destinés à attirer leurs opérateurs de leurs concurrents et fidéliser les leurs pourrait toucher à sa fin.
Ils ont du coup respectivement laissé échapper 0,38 et 0,56% après la clôture.
Il était aussi à noter que Countrywide, une succursale du second, avait été déclarée responsable par des jurés de ventes frauduleuses de prêts toxiques à Fannie Mae et Fredie Mac, au cours du premier procès sur la question, qui pourrait bien ne pas être le dernier.
Sur le front technologique, l'assembleur d'ordinateurs Hewlett-Packard trébuchait de 0,08% après la fin des hostilités sur fond de rumeurs selon lesquelles il chercherait à revendre certains de ses brevets portant sur la téléphonie mobile, afin de renflouer sa trésorerie.
Le fabricant d'équipements cardiologiques Boston Scientific bondissait par contre de 0,98% dans le même temps, se réjouissant de l'annonce de 1.100 à 1.500 licenciements d'ici 2015 dans le cadre d'une nouvelle restructuration.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Ford, 3M, Amazon.com, Microsoft, Western Digital et Zynga, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient elles aussi nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,59%, le CAC 40 français de 0,24%, le DAX 30 allemand de 0,72% et le FTSE 100 britannique de 0,47%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,71%, mais le Nikkei 225 japonais arrachait 0,42%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté rendre aujourd'hui leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, le solde de leur commerce extérieur ainsi que le volume des ventes de logements neufs.