Dans un récent développement, le Département d'État a révélé qu'Israël a informé les États-Unis de son engagement dans des opérations terrestres limitées. Ces opérations visent les infrastructures du Hezbollah situées au Liban, près de la frontière israélienne. Le porte-parole du Département d'État, Matthew Miller, s'adressant aujourd'hui aux journalistes, a communiqué les actions d'Israël, précisant que les opérations étaient concentrées sur le ciblage des infrastructures du Hezbollah.
Alors que les tensions s'intensifient, des signes sont apparus aujourd'hui indiquant qu'Israël pourrait se préparer à déployer des troupes terrestres au Liban. Cela intervient après une offensive de deux semaines contre la milice soutenue par l'Iran, le Hezbollah, qui a vu l'élimination de son chef, Sayyed Hassan Nasrallah. Un responsable américain, qui a demandé l'anonymat, a indiqué que le positionnement des forces israéliennes laissait présager une possible incursion terrestre à l'horizon.
Les récentes frappes aériennes d'Israël et l'élimination ciblée des commandants du Hezbollah ont de plus en plus pointé vers la possibilité d'une invasion terrestre. Ces attaques s'inscrivent dans un conflit plus large qui s'étend de Gaza et de la Cisjordanie aux factions soutenues par l'Iran au Yémen et en Irak, suscitant des inquiétudes quant à l'implication potentielle des États-Unis et de l'Iran dans le conflit.
Bien que les États-Unis maintiennent leur soutien à un cessez-le-feu entre Israël et le Hezbollah, Miller a noté que l'action militaire peut parfois faciliter les efforts diplomatiques. Cependant, il a également mis en garde contre les risques associés aux entreprises militaires, soulignant qu'elles pourraient conduire à des erreurs de jugement et à des conséquences imprévues.
Reuters a contribué à cet article.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.