Investing.com - La Bourse de Paris affichait une hausse de 0,66% à mi-séance jeudi, soutenue par les banques et les valeurs technologiques après la publication de plusieurs bons indicateurs économiques, alors que les craintes d’enlisement de la crise financière espagnole persistaient.
Dans la zone euro, le taux d'inflation a diminué de 0,2 point à 2,4% sur un an en mai dans la, soit son niveau le plus faible depuis février 2011, selon l'estimation préliminaire d’Eurostat.
En Allemagne, le taux de chômage a diminué de 0,1 point à 6,7% de la population active en mai, au plus bas depuis 1998, tandis que les ventes au détail ont augmenté de 0,6% le mois dernier et affichent un recul de 3,8% sur un an.
En France, les prix à la production sont restés stables dans l'industrie en avril, tandis que la consommation des ménages a progressé de 0,6%.
Par ailleurs, le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, annonçait plus tôt que les banques grecques qui exclues auparavant des opérations de financement de la BCE y ont de nouveau accès, suite à leur recapitalisation. Il a également dit s'attendre à ce que les fonds du Mécanisme européen de stabilité soient utilisés.
STMicroelectronics affichait l’une des belles performances de l’indice parisien jeudi, en hausse de 2,36% à mi-séance, alors que, mardi, l’agence de notation Fitch a abaissé la note de crédit long terme du fabricant de semi-conducteurs de BBB+ à BBB, avec une perspective négative.
D’autres valeurs technologiques se sont distinguées pour cette dernière séance du mois de mai : Cap Gemini progressait de 3,21% et Atos grimpait de 4,48%.
Les banques étaient également recherchées, soutenues notamment par les commentaires encourageants du président de la BCE. Société Générale s’appréciait de 1.38% et Crédit Agricole de 0,79%, tandis que BNP Paribas s’octroyait 2,20% après avoir annoncé le lancement d’une nouvelle banque privée en Pologne, BNP Paribas Bankowosc Privatna.
Par ailleurs, Geniki Bank, filiale grecque de la Société Générale, a publié mercredi une perte trimestrielle réduite d'un tiers sur un an à 66,3 millions d'euros, grâce à la diminution des provisions pour créances douteuses.
France Télécom s’est octroyé 1,08% en milieu de journée, après avoir annoncé détenir près de 94% du capital de l'opérateur mobile égyptien Mobinil à l'issue de son OPA, confirmant ainsi les résultats publiés dimanche par les autorités boursières du Caire.
Après un bref recul, Peugeot avançait de 0,88% jeudi. Le groupe annonçait plus tôt que, vendredi, il compte engager des négociations pour rendre son usine de Sevelnord (Nord) plus flexible et augmenter ses chances d'être choisi pour assembler un nouveau modèle, crucial pour l'avenir du site.
Son concurrent Renault avançait de 0,61%, tandis que Michelin grappillait 0,01%.
A l’inverse, Vallourec abandonnait 1,48%, alors que le marché guettait les conclusions de son assemblée générale. Le président du directoire, Philippe Crouzet, déclarait plus tôt que la conjoncture des marchés du groupe, hors pétrole et gaz, conforte sa stratégie d'investissement au Brésil et aux Etats-Unis malgré les difficultés rencontrées par ses deux usines en construction.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s’appréciait de 0,72%, le DAX avançait de 0,39% et le Footsie 100 s’octroyait 0,77%.
Plusieurs indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : l'enquête ADP sur les créations d'emplois dans le secteur privé en mai, les inscriptions hebdomadaires au chômage et la deuxième estimation du PIB du premier trimestre, puis l'indice PMI de Chicago de mai.
L’Irlande devait, par ailleurs, tenir un référendum sur son adhésion ou non au pacte budgétaire européen.
Dans la zone euro, le taux d'inflation a diminué de 0,2 point à 2,4% sur un an en mai dans la, soit son niveau le plus faible depuis février 2011, selon l'estimation préliminaire d’Eurostat.
En Allemagne, le taux de chômage a diminué de 0,1 point à 6,7% de la population active en mai, au plus bas depuis 1998, tandis que les ventes au détail ont augmenté de 0,6% le mois dernier et affichent un recul de 3,8% sur un an.
En France, les prix à la production sont restés stables dans l'industrie en avril, tandis que la consommation des ménages a progressé de 0,6%.
Par ailleurs, le président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, annonçait plus tôt que les banques grecques qui exclues auparavant des opérations de financement de la BCE y ont de nouveau accès, suite à leur recapitalisation. Il a également dit s'attendre à ce que les fonds du Mécanisme européen de stabilité soient utilisés.
STMicroelectronics affichait l’une des belles performances de l’indice parisien jeudi, en hausse de 2,36% à mi-séance, alors que, mardi, l’agence de notation Fitch a abaissé la note de crédit long terme du fabricant de semi-conducteurs de BBB+ à BBB, avec une perspective négative.
D’autres valeurs technologiques se sont distinguées pour cette dernière séance du mois de mai : Cap Gemini progressait de 3,21% et Atos grimpait de 4,48%.
Les banques étaient également recherchées, soutenues notamment par les commentaires encourageants du président de la BCE. Société Générale s’appréciait de 1.38% et Crédit Agricole de 0,79%, tandis que BNP Paribas s’octroyait 2,20% après avoir annoncé le lancement d’une nouvelle banque privée en Pologne, BNP Paribas Bankowosc Privatna.
Par ailleurs, Geniki Bank, filiale grecque de la Société Générale, a publié mercredi une perte trimestrielle réduite d'un tiers sur un an à 66,3 millions d'euros, grâce à la diminution des provisions pour créances douteuses.
France Télécom s’est octroyé 1,08% en milieu de journée, après avoir annoncé détenir près de 94% du capital de l'opérateur mobile égyptien Mobinil à l'issue de son OPA, confirmant ainsi les résultats publiés dimanche par les autorités boursières du Caire.
Après un bref recul, Peugeot avançait de 0,88% jeudi. Le groupe annonçait plus tôt que, vendredi, il compte engager des négociations pour rendre son usine de Sevelnord (Nord) plus flexible et augmenter ses chances d'être choisi pour assembler un nouveau modèle, crucial pour l'avenir du site.
Son concurrent Renault avançait de 0,61%, tandis que Michelin grappillait 0,01%.
A l’inverse, Vallourec abandonnait 1,48%, alors que le marché guettait les conclusions de son assemblée générale. Le président du directoire, Philippe Crouzet, déclarait plus tôt que la conjoncture des marchés du groupe, hors pétrole et gaz, conforte sa stratégie d'investissement au Brésil et aux Etats-Unis malgré les difficultés rencontrées par ses deux usines en construction.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 s’appréciait de 0,72%, le DAX avançait de 0,39% et le Footsie 100 s’octroyait 0,77%.
Plusieurs indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : l'enquête ADP sur les créations d'emplois dans le secteur privé en mai, les inscriptions hebdomadaires au chômage et la deuxième estimation du PIB du premier trimestre, puis l'indice PMI de Chicago de mai.
L’Irlande devait, par ailleurs, tenir un référendum sur son adhésion ou non au pacte budgétaire européen.