Investing.com - La livre sterling est descendue vers un creux journalier face au dollar U.S. ce mercredi, et semblait devoir subir un accroissement de la pression baissière au cas où un résultat médiocre du produit intérieur brut de la Grande-Bretagne ferait baisser l'attente d'une hausse des taux à court terme de la Banque d'Angleterre.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6444 en première partie de séance européenne, son cours le plus faible du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6455, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6306, son plancher du 20 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6551, son plafond du 25.
La devise du Royaume-Uni a globalement progressé cette année, soutenue par l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la banque centrale britannique dans les mois à venir, même si les incertitudes concernant le moment où elles auraient lieu persistaient en raison de la reprise économique en dents de scie du pays.
Andrew Sentance, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre et partisan de longue date d'un durcissement monétaire, a prévenu mardi que la faiblesse des taux d'intérêt nuisait à la crédibilité de celle-ci.
La monnaie de la Grande-Bretagne a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.3% pour se hisser à 0.8913.
Le pays prévoyait de dévoiler l'évaluation préliinaire de son PIB du premier trimestre en cours de journée.
Les Etats-Unis devaient quand à eux révéler le volume officiel de leurs commandes de biens durables, tandis que la Réserve Fédérale annoncera son taux appliqué aux fonds fédéraux, suivie de la première conférence de presse explicative tenue par Ben Bernanke, son président.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.6444 en première partie de séance européenne, son cours le plus faible du jour, puis s'est stabilisée vers 1.6455, perdant 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.6306, son plancher du 20 avril, et de rencontrer de la résistance à 1.6551, son plafond du 25.
La devise du Royaume-Uni a globalement progressé cette année, soutenue par l'attente d'une hausse des taux d'intérêt de la banque centrale britannique dans les mois à venir, même si les incertitudes concernant le moment où elles auraient lieu persistaient en raison de la reprise économique en dents de scie du pays.
Andrew Sentance, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre et partisan de longue date d'un durcissement monétaire, a prévenu mardi que la faiblesse des taux d'intérêt nuisait à la crédibilité de celle-ci.
La monnaie de la Grande-Bretagne a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.3% pour se hisser à 0.8913.
Le pays prévoyait de dévoiler l'évaluation préliinaire de son PIB du premier trimestre en cours de journée.
Les Etats-Unis devaient quand à eux révéler le volume officiel de leurs commandes de biens durables, tandis que la Réserve Fédérale annoncera son taux appliqué aux fonds fédéraux, suivie de la première conférence de presse explicative tenue par Ben Bernanke, son président.