Investing.com - Les options sur le brut ont à peine repris des couleurs ce marcredi, se maintenant tout de même aux abords de leurr niveau le plus bas depuis la mi-février, sur fond de craintes grandissantes concernant le futur de l'économie mondiale.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 101.14 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.67 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.55% d'amélioration, après avoir plongé hier à 100.70 USD, leur niveau le plus bas depuis le 14 février.
La journée d'hier les avait en effet vus dégringoler de près de 1.5% sur fond d'angoisse que l'Espagne de devienne le prochain membre de la zone euro à avoir recours à une bouée de sauvetage, et d'incertitudes concernant les perspectives économiques planétaires.
L'angoisse concernant les coûts des emprunts du pays est en effet montée d'un cran ce mardi, après que les taux de ses bons décennaux aient culminé à 6.01%, leur plus haut niveau depuis novembre.
Cette augmentation est survenue après que le ministre de l'économie Luis de Guindos ait refusé d'exclure l'idée d'un plan de secours international, tandis que Miguel Angel Fernandez Ordonez, gouverneur de la Banque d'Espagne, déclarait que les établissement financiers nationaux pourraient nécessiter une recapitalisation au cas où l'économie faiblirait davantage qu'il n'est déjà redouté.
La pression est toutefois légèrement retombée, les amenant à 5.94% en début de séance, tandis que leurs homologues italiens étaient revenus à 5.64% après avoir connu un pic similaire à 5.73%.
Ces nouvelles pervenaient par ailleurs sur fond de peur grandissante concernant les possibilités de croissance mondiales, et particulièrement celles des Etats-Unis et de la Chine, les deux plus grosses économies de la planète, entraînant des incertitudes concernant les besoins pétroliers.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a déclaré hier prévoir une consommation globale moyenne de 88.81 millions de barils par jour pour 2012, contre 88.96 millions il y a un mois.
Elle a précisé s'attendre à voir un fléchissement du marché de l'or noir, malgré la baisse attendue des exportations iraniennes en raison de l'embargo les concernant que l'Union Européenne devrait mettre en place en juillet.
Ses acteurs attendent pour cet après-midi son inventaire crucial des réserves américaines de brut et de produits raffinés.
Celui-ci devrait indiquer que les premières devraient avoir engrangé 2.1 millions de barils la semaine dernière, pour s'élever à leur plus haut niveau pour cette saison depuis 1990, soulignant la peur d'une diminution des besoins du pays.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur hier, signalant une accumulation de 6.58 millions de barils de brut supplémentaires pour la période considérée, dépassant nettement les 2.1 millions attendus.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont cédé 0.5% pour glisser à 118.92 USD du baril dans le même temps, soit 17.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 101.14 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.1%.
Ils avaient auparavant culminé à 101.67 USD, leur cours le plus élevé du jour, avec 0.55% d'amélioration, après avoir plongé hier à 100.70 USD, leur niveau le plus bas depuis le 14 février.
La journée d'hier les avait en effet vus dégringoler de près de 1.5% sur fond d'angoisse que l'Espagne de devienne le prochain membre de la zone euro à avoir recours à une bouée de sauvetage, et d'incertitudes concernant les perspectives économiques planétaires.
L'angoisse concernant les coûts des emprunts du pays est en effet montée d'un cran ce mardi, après que les taux de ses bons décennaux aient culminé à 6.01%, leur plus haut niveau depuis novembre.
Cette augmentation est survenue après que le ministre de l'économie Luis de Guindos ait refusé d'exclure l'idée d'un plan de secours international, tandis que Miguel Angel Fernandez Ordonez, gouverneur de la Banque d'Espagne, déclarait que les établissement financiers nationaux pourraient nécessiter une recapitalisation au cas où l'économie faiblirait davantage qu'il n'est déjà redouté.
La pression est toutefois légèrement retombée, les amenant à 5.94% en début de séance, tandis que leurs homologues italiens étaient revenus à 5.64% après avoir connu un pic similaire à 5.73%.
Ces nouvelles pervenaient par ailleurs sur fond de peur grandissante concernant les possibilités de croissance mondiales, et particulièrement celles des Etats-Unis et de la Chine, les deux plus grosses économies de la planète, entraînant des incertitudes concernant les besoins pétroliers.
L'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis a déclaré hier prévoir une consommation globale moyenne de 88.81 millions de barils par jour pour 2012, contre 88.96 millions il y a un mois.
Elle a précisé s'attendre à voir un fléchissement du marché de l'or noir, malgré la baisse attendue des exportations iraniennes en raison de l'embargo les concernant que l'Union Européenne devrait mettre en place en juillet.
Ses acteurs attendent pour cet après-midi son inventaire crucial des réserves américaines de brut et de produits raffinés.
Celui-ci devrait indiquer que les premières devraient avoir engrangé 2.1 millions de barils la semaine dernière, pour s'élever à leur plus haut niveau pour cette saison depuis 1990, soulignant la peur d'une diminution des besoins du pays.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont dévoilé le leur hier, signalant une accumulation de 6.58 millions de barils de brut supplémentaires pour la période considérée, dépassant nettement les 2.1 millions attendus.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont cédé 0.5% pour glisser à 118.92 USD du baril dans le même temps, soit 17.78 USD de mieux que leurs homologues américaines.