Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce lundi, l'atmosphère se trouvant plombée par les incertitudes au sujet d'un éventuel recours de l'Espagne à un plan de secours total.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.36%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro est en effet réapparu après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
Madrid comptait pour sa part présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé en fin de semaine que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Les compagnies de transport étaient attendues au tournant, une semaine après que deux des plus grosses d'entre elles, à savoir FedEx et Norfolk Southern, aient averti que l'affaiblissement de l'économie mondiale pèserait sur leurs résultats.
La finance était aussi sous les feux de la rampe, suite aux pertes importantes ayant touché le secteur en Europe,Citigroup dérapant de 1.4% et la Bank of America de 1.1% en pré-ouverture.
Les valeurs énergétiques et minières étaient également en question suite à la dégringolade des cours des matières premières, le poids lourd des hydrocarbures Chevron reculant de 0.42% avant les premiers échanges, U.S. Steel s'effondrant de 2.86% après que Citigroup en ait rabaissé la recommandation de l'achat vers l'attente.
Geeneral Electric a pour sa part laissé échapper 0.4% avant le début des transactions, alors qu'il se disait que le compagnie se préparait à acquérir des équipements miniers et des compagnies de services dans le but de créer une nouvelle succursale, laquelle devrait atteindre 5 milliards d'USD de chiffre d'affaires "d'ici quelques années".
Parmi les bonnes nouvelles, l'entrepreneur Lennar a bondi de 3.97% avant le lancement des hostilités suite à l'annonce de fortes hausses de ses rentrées et bénéfices pour le troisième trimestre, ses commandes ayant explosé de 44%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.99%, le CAC 40 français de 1.08%, le DAX 30 allemand de 0.7% et le FTSE 100 britannique de 0.56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a glissé de 0.19%, et le Nikkei 225 japonais 0.45%.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.36%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.27%.
Le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de la zone euro est en effet réapparu après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
Madrid comptait pour sa part présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé en fin de semaine que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Les compagnies de transport étaient attendues au tournant, une semaine après que deux des plus grosses d'entre elles, à savoir FedEx et Norfolk Southern, aient averti que l'affaiblissement de l'économie mondiale pèserait sur leurs résultats.
La finance était aussi sous les feux de la rampe, suite aux pertes importantes ayant touché le secteur en Europe,Citigroup dérapant de 1.4% et la Bank of America de 1.1% en pré-ouverture.
Les valeurs énergétiques et minières étaient également en question suite à la dégringolade des cours des matières premières, le poids lourd des hydrocarbures Chevron reculant de 0.42% avant les premiers échanges, U.S. Steel s'effondrant de 2.86% après que Citigroup en ait rabaissé la recommandation de l'achat vers l'attente.
Geeneral Electric a pour sa part laissé échapper 0.4% avant le début des transactions, alors qu'il se disait que le compagnie se préparait à acquérir des équipements miniers et des compagnies de services dans le but de créer une nouvelle succursale, laquelle devrait atteindre 5 milliards d'USD de chiffre d'affaires "d'ici quelques années".
Parmi les bonnes nouvelles, l'entrepreneur Lennar a bondi de 3.97% avant le lancement des hostilités suite à l'annonce de fortes hausses de ses rentrées et bénéfices pour le troisième trimestre, ses commandes ayant explosé de 44%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.99%, le CAC 40 français de 1.08%, le DAX 30 allemand de 0.7% et le FTSE 100 britannique de 0.56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a glissé de 0.19%, et le Nikkei 225 japonais 0.45%.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.