Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris s'inscrivait en baisse mardi, affichant un retrait de 0,32% à mi-séance, alors que les investisseurs attendaient toujours des informations concernant le déclenchement potentiel d'un sauvetage financier pour l'Espagne.
La prudence restait de mise dans un marché encore marqué par les craintes pour l’économie et les interrogations sur l’éventuelle demande d’aide financière de la part de l'Espagne. Madrid doit par ailleurs présenter son projet de budget 2013 et les besoins de recapitalisation de ses banques vendredi.
Sur le front des statistiques, l’indice de confiance du consommateur allemand établi par Gfk pour octobre est ressorti à 5,9 points, comme en septembre et conformément aux anticipations des analystes.
En France, les mises en chantier de logements ont diminué de 8,1% sur les trois mois à fin août, tandis que le nombre de permis de construire délivrés a augmenté de 1,1%.
Toujours dans l’Hexagone, l’indicateur du climat général des affaires calculé par l’Insee s’est contracté de 1 point à 86 en septembre. Il est resté stable à 90 points dans l’industrie manufacturière et a progressé de 3 points à 87 dans les services.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en forte baisse, mardi. A mi-séance, BNP Paribas reculait de 1,01%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole perdaient 0,88% et 2,82% respectivement.
Par ailleurs, Goldman Sachs a dégradé le titre du Crédit Agricole de "achat" à "neutre".
Egalement dans le rouge, les valeurs cycliques étaient pénalisées par les inquiétudes de ralentissement économique mondial. Total lâchait 0,27% en milieu de séance et Vallourec perdait 0,40%, tandis qu'ArcelorMittal pliait de 1,28%.
GDF Suez a abandonné 1,74%, après qu'UBS a retiré le titre de l’énergéticien de sa liste de valeurs européennes préférées.
Par ailleurs, avec le sud-coréen Posco Energy, le japonais Sojitz et le mongol Newcom, le groupe serait en train de négocier les derniers détails en vue de la construction d’une centrale au charbon qui alimentera la ville d’Oulan-Bator en électricité, selon le Financial Times.
Contre la tendance, Vivendi gagnait 0,74% à mi-séance, alors que SFR a fait savoir qu'il sera "plus agressif" face à Free en simplifiant ses offres, selon le Figaro.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,17%, le DAX perdait 0,34% et le Footsie 100 cédait 0,02%.
Deux indicateurs américains sont attendus plus tard dans l'après-midi: l’indice S&P/Case-Shiller des prix de l’immobilier dans 20 métropoles en juillet, puis l’indice de confiance du consommateur établi par le Conference Board pour le mois de septembre.
La prudence restait de mise dans un marché encore marqué par les craintes pour l’économie et les interrogations sur l’éventuelle demande d’aide financière de la part de l'Espagne. Madrid doit par ailleurs présenter son projet de budget 2013 et les besoins de recapitalisation de ses banques vendredi.
Sur le front des statistiques, l’indice de confiance du consommateur allemand établi par Gfk pour octobre est ressorti à 5,9 points, comme en septembre et conformément aux anticipations des analystes.
En France, les mises en chantier de logements ont diminué de 8,1% sur les trois mois à fin août, tandis que le nombre de permis de construire délivrés a augmenté de 1,1%.
Toujours dans l’Hexagone, l’indicateur du climat général des affaires calculé par l’Insee s’est contracté de 1 point à 86 en septembre. Il est resté stable à 90 points dans l’industrie manufacturière et a progressé de 3 points à 87 dans les services.
Du côté des valeurs, les banques évoluaient en forte baisse, mardi. A mi-séance, BNP Paribas reculait de 1,01%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole perdaient 0,88% et 2,82% respectivement.
Par ailleurs, Goldman Sachs a dégradé le titre du Crédit Agricole de "achat" à "neutre".
Egalement dans le rouge, les valeurs cycliques étaient pénalisées par les inquiétudes de ralentissement économique mondial. Total lâchait 0,27% en milieu de séance et Vallourec perdait 0,40%, tandis qu'ArcelorMittal pliait de 1,28%.
GDF Suez a abandonné 1,74%, après qu'UBS a retiré le titre de l’énergéticien de sa liste de valeurs européennes préférées.
Par ailleurs, avec le sud-coréen Posco Energy, le japonais Sojitz et le mongol Newcom, le groupe serait en train de négocier les derniers détails en vue de la construction d’une centrale au charbon qui alimentera la ville d’Oulan-Bator en électricité, selon le Financial Times.
Contre la tendance, Vivendi gagnait 0,74% à mi-séance, alors que SFR a fait savoir qu'il sera "plus agressif" face à Free en simplifiant ses offres, selon le Figaro.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,17%, le DAX perdait 0,34% et le Footsie 100 cédait 0,02%.
Deux indicateurs américains sont attendus plus tard dans l'après-midi: l’indice S&P/Case-Shiller des prix de l’immobilier dans 20 métropoles en juillet, puis l’indice de confiance du consommateur établi par le Conference Board pour le mois de septembre.