Investing.com - L'euro rôdait encore aux abords de son creux de trois mois ce mardi matin, après que le chef de son autorité monétaire ait rappelé hier que son taux de change pourrait affecter ses prévisions inflationnaires.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3336 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3343, trébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3263, son plancher du 23 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3454, son plafond du 14 février.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré que le taux de change de la monnaie unique ne constituait pas un objectif de la politique monétaire, mais qu'il demeurait important pour la croissance et la stabilité des prix.
Ces commentaires étaient issus de son témoignage devant le comité aux affaires économiques et monétaires du parlement européen.
Il a aussi précisé que la région avait "entamé 2013 dans un environnement plus stable que les années précédentes", tout en avertissant que l'économie était encore affaiblie après trois trimestres de contraction, et ne reprendrait des forces que lentement en cours d'année.
La prudence restait aussi de mise, avec les élections législatives italiennes à l'horizon en fin de mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP se repliant de 0.14% pour reprendre pied à 0.8617 et l'EUR/JPY dérapant de 0.57% pour glisser à 124.73.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait quand à lui dévoiler aujourd'hui son baromètre surveillé de près du moral économique allemand.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3336 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3343, trébuchant de 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3263, son plancher du 23 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3454, son plafond du 14 février.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré que le taux de change de la monnaie unique ne constituait pas un objectif de la politique monétaire, mais qu'il demeurait important pour la croissance et la stabilité des prix.
Ces commentaires étaient issus de son témoignage devant le comité aux affaires économiques et monétaires du parlement européen.
Il a aussi précisé que la région avait "entamé 2013 dans un environnement plus stable que les années précédentes", tout en avertissant que l'économie était encore affaiblie après trois trimestres de contraction, et ne reprendrait des forces que lentement en cours d'année.
La prudence restait aussi de mise, avec les élections législatives italiennes à l'horizon en fin de mois, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire ne freine l'avancée des réformes économiques.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP se repliant de 0.14% pour reprendre pied à 0.8617 et l'EUR/JPY dérapant de 0.57% pour glisser à 124.73.
Le centre de recherches économiques ZEW comptait quand à lui dévoiler aujourd'hui son baromètre surveillé de près du moral économique allemand.