Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note mitigée ce lundi matin, l'actualité régionale, concernant notamment l'émergence d'une nouvelle grippe aviaire en Chine et les postures martiales adoptées par la Corée du Nord, nuisaient à l'enthousisme général.
Celles du Japon profitaient cependant d'un yen toujours plus friable face au dollar U.S. après que la Banque du Japon ait renforcé en fin de semaine ses mesures accommodatives destinées à lutter contre la déflation pour bondir à leur plus haut niveau depuis août 2008.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,4%, le Hang Seng de Hong Kong trébuchait de 0,2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,8%.
Sydney gardait malgré tout le moral, grâce aux bonnes performances de ses extracteurs, profitant de la hausse des cours de l'or et du cuivre à New York.
Newcrest Mining, spécialiste du premier, bondissait de 1,8%, et le mastodonte minier BHP Billiton lui emboîtait le pas avec 1,7%.
Hong Kong était par contre en léger repli, sur fond de crainte des conséquences de l'épidémie de grippe aviaire chinoise.
Les assureurs étaient en difficulté, le Ping An Insurance Group plongeant de 1,7%, et le China Life Insurance Group de 0,7%.
Les promoteurs immobiliers n'étaient guère mieux lotis, Sino Land shares laissant échapper 1,4%, New World Development 1,7% et Henderson Land dropping 2,2%.
Tokyo caracolait pour sa part à un sommet de 56 mois, le yen ayant sombré dans sa pire ornière depuis juin 2009 par rapport au billet vert, profitant aux grands noms de l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 3,7 et 3%, suivis de Canon et Sony avec 3,5 et 5,7%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 5,5%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 3,4 et 5,9%.
La banque centrale de l'archipel avait déclaré jeudi vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
Elle devrait également prendre de l'avance sur ses achats illimités d'actifs et a des chances d'amasser jusqu'à 7 billions de JPY en dettes nationales à long terme tous les mois.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigé, après qu'il ait été révélé vendredi que l'économie américaine avait moins créé d'emplois qu'espéré.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un faux pas de 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand pressentant un frémissement de 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique redoutant une rétractation de 0,1%.
L'Allemagne comptait quand à elle divulguer aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
Celles du Japon profitaient cependant d'un yen toujours plus friable face au dollar U.S. après que la Banque du Japon ait renforcé en fin de semaine ses mesures accommodatives destinées à lutter contre la déflation pour bondir à leur plus haut niveau depuis août 2008.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,4%, le Hang Seng de Hong Kong trébuchait de 0,2% et le Nikkei 225 japonais engrangeait 2,8%.
Sydney gardait malgré tout le moral, grâce aux bonnes performances de ses extracteurs, profitant de la hausse des cours de l'or et du cuivre à New York.
Newcrest Mining, spécialiste du premier, bondissait de 1,8%, et le mastodonte minier BHP Billiton lui emboîtait le pas avec 1,7%.
Hong Kong était par contre en léger repli, sur fond de crainte des conséquences de l'épidémie de grippe aviaire chinoise.
Les assureurs étaient en difficulté, le Ping An Insurance Group plongeant de 1,7%, et le China Life Insurance Group de 0,7%.
Les promoteurs immobiliers n'étaient guère mieux lotis, Sino Land shares laissant échapper 1,4%, New World Development 1,7% et Henderson Land dropping 2,2%.
Tokyo caracolait pour sa part à un sommet de 56 mois, le yen ayant sombré dans sa pire ornière depuis juin 2009 par rapport au billet vert, profitant aux grands noms de l'exportation.
Les constructeurs automobiles Honda et Mazda avançaient ainsi respectivement de 3,7 et 3%, suivis de Canon et Sony avec 3,5 et 5,7%.
Les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvent mécaniquement encouragées par la perte de vitesse de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus à l'exportation.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 5,5%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 3,4 et 5,9%.
La banque centrale de l'archipel avait déclaré jeudi vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
Elle devrait également prendre de l'avance sur ses achats illimités d'actifs et a des chances d'amasser jusqu'à 7 billions de JPY en dettes nationales à long terme tous les mois.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt mitigé, après qu'il ait été révélé vendredi que l'économie américaine avait moins créé d'emplois qu'espéré.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français tablant sur un faux pas de 0,1%, celles sur le DAX 30 allemand pressentant un frémissement de 0,1% et celles sur le FTSE 100 britannique redoutant une rétractation de 0,1%.
L'Allemagne comptait quand à elle divulguer aujourd'hui le volume de sa production industrielle.