Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi, mettant fin à une série de deux sessions négatives, son adversaire demeurant troublé après que son émettrice ait opté pour le statu quo.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6054 en première partie de séance européenne, son meilleur cours du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6045, prenant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,(ç_(, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6150, son plafond de huit mois éétable la veille.
Le billet vert a en effet perdu des plumes après que la Réserve Fédérale ait déclaré qu'elle souhaitait attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles que l'économie se consolide sur le long terme avant d'ajuster le volume des injections de capitaux.
Cette nouvelle a surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards.
Il a cependant repris du poil de la bête après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que cette option attentiste avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu que le contraire ait lieu le mois prochain.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs atteint des sommets journaliers contre l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,30% pour chuter à 0,8423.
Ce dernier s'est retrouvé dans l'ornière après que les résultats du domaine secondaire du bloc où il a cours aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier y est ainsi passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2.
Le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le parti de la chancelière sortante Angela Merkel ait assuré à cette dernière un troisièe mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les coalitions possibles.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,6054 en première partie de séance européenne, son meilleur cours du jour, puis s'est stabilisée vers 1,6045, prenant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,(ç_(, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6150, son plafond de huit mois éétable la veille.
Le billet vert a en effet perdu des plumes après que la Réserve Fédérale ait déclaré qu'elle souhaitait attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles que l'économie se consolide sur le long terme avant d'ajuster le volume des injections de capitaux.
Cette nouvelle a surpris les analystes ayant accordé du crédit aux rumeurs selon lesquelles elle les réduirait de 10 à 15 milliards.
Il a cependant repris du poil de la bête après que James Bullard, président de la réserve fédérale de Saint Louis, ait révélé que cette option attentiste avait été choisie "de justesse", et rappelé qu'il n'était pas exclu que le contraire ait lieu le mois prochain.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs atteint des sommets journaliers contre l'euro, l'EUR/GBP glissant de 0,30% pour chuter à 0,8423.
Ce dernier s'est retrouvé dans l'ornière après que les résultats du domaine secondaire du bloc où il a cours aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
L'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier y est ainsi passé des 51,4 définitifs d'août à 51,1, au lieu des 51,8 anticipés.
Celui des services ne suivait cependant pas le même chemin, passant de 50,7 à 52,1 dans le même temps, alors qu'un saut de puce à 51,1 semblait probable.
Le premier de ces baromètres correspondants de l'Allemagne se rétractait pour sa part depuis 51,8 jusqu'à 51,3, prenant à revers ceux espérant un sursaut à 52,2.
Le second a par contre accéléré de 52,8 vers 54,4, sa meilleure valeur en quatre mois, dépassant largement les 53,1 attendus.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le parti de la chancelière sortante Angela Merkel ait assuré à cette dernière un troisièe mandat consécutif historique à l'issue des élections législatives d'hier, les chefs des différentes factions devant se rencontrer sous peu afin d'évoquer les coalitions possibles.