Investing.com - L'euro subissait une forte pression de la plupart de ses concurrents ce mercredi, la crainte d'une dégradation collective notations monétaires de la zone euro demeurant vives, poussant les taux des emprunts italien vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro.
En fin de première partie de séance européenne, s'est retrouvé aux bords d'un creux des 11 derniers mois face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.08% pour descendre à 1.3025.
L'Italie écoulé ce matin le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
L'Allemagne a pour sa par vendu pour 4.18 milliards d'euros de bons du trésor aux taux les plus bas depuis la mise en place de la monnaie unique, alors que la mise aux enchères de ceux à dix ans de la semaine dernière n'avait rencontré qu'une demande très faible de la part des investisseurs.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
La demande pour les valeurs refuge a quand à elle bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
La devise européenne a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.16% pour glisser à 0.8408.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redoutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
La monnaie unique a d'autre part subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.1% pour se retrouver à 101.57 et l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour frémir à 1.233.
Une étude du centre de recherches économiques ZEW a par ailleurs montré que les attentes pour l'économie suisse avaient reculé pour décembre vers leur pire niveau en trois ans, passant ainsi de -64.3 à -72.
Elle a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas lla néo-zélandaise, l'EUR/CAD chutant de 0.12% pour aller vers 1.3565, l'EUR/USD faisant un faux pas de 0.02% pour se replier à 1.3014 et l'EUR/NZD gagnant 0.21% pour culminer à 1.7265.
Il avait été montré en début de matinée que le baromètre du moral des consommateurs australiens émanant de la Westpac banking Corporation était tombé en novembre à son niveau le plus faible depuis août, plongeant de 8.3% après avoir pourtant bondi de 6.3% le mois dernier.
Il avait été signalé par les autorités à la mi-journée que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.
En fin de première partie de séance européenne, s'est retrouvé aux bords d'un creux des 11 derniers mois face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD trébuchant de 0.08% pour descendre à 1.3025.
L'Italie écoulé ce matin le total des 3 milliards d'euros en obligations à 5 ans envisagés, à un taux moyen de 6.47%, et donc supérieur aux 6.29% réalisés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Celui des bons du trésor décennaux du pays ont par la suite bondi jusqu'à 7.17%, un niveau largement considéré comme intenable.
L'Allemagne a pour sa par vendu pour 4.18 milliards d'euros de bons du trésor aux taux les plus bas depuis la mise en place de la monnaie unique, alors que la mise aux enchères de ceux à dix ans de la semaine dernière n'avait rencontré qu'une demande très faible de la part des investisseurs.
Le moral des investisseurs a été plombé ces derniers jours par l'idée selon laquelle le sommet de l'Union Européenne de la semaine dernière n'aurait pas permis de mettre au point un plan radical de lutte contre le problème du surendettement régional.
La demande pour les valeurs refuge a quand à elle bénéficié du soutien des propos de la Réserve Fédérale, déclarant que les turbulences sur les marchés découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro menaçaient l'économie des Etats-Unis, se retenant cependant d'esquisser de nouvelles mesures destinées à stimuler la croissance.
La devise européenne a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP perdant 0.16% pour glisser à 0.8408.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redoutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
La monnaie unique a d'autre part subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.1% pour se retrouver à 101.57 et l'EUR/CHF arrachant 0.02% pour frémir à 1.233.
Une étude du centre de recherches économiques ZEW a par ailleurs montré que les attentes pour l'économie suisse avaient reculé pour décembre vers leur pire niveau en trois ans, passant ainsi de -64.3 à -72.
Elle a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas lla néo-zélandaise, l'EUR/CAD chutant de 0.12% pour aller vers 1.3565, l'EUR/USD faisant un faux pas de 0.02% pour se replier à 1.3014 et l'EUR/NZD gagnant 0.21% pour culminer à 1.7265.
Il avait été montré en début de matinée que le baromètre du moral des consommateurs australiens émanant de la Westpac banking Corporation était tombé en novembre à son niveau le plus faible depuis août, plongeant de 8.3% après avoir pourtant bondi de 6.3% le mois dernier.
Il avait été signalé par les autorités à la mi-journée que la production industrielle de la zone euro avait subi en octobre un repli inattendu, plongeant ainsi pour son second mois d'affilée.