Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents malgré un sursaut de ces derniers ce mardi, alors que les rumeurs d'une déclaration conjointe d'Angela Merkel, la chancelière allemande et de son homologue français au sujet de la Grèce se trouvaient démenties.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a beaucoup moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.21% pour tomber à 1.3648.
La monnaie unique s'était auparavant propulsée vers un nouveau pic journalier sur fond de bruits affirmant que les dirigeants de l'Allemagne et de la France annonceraient conjointement une initiative d'aide à la Grèce.
Les dividendes des bons du trésor italiens se sont quand à eux envolés vers des sommets jamais atteints depuis la mise en place de la monnaie unique après la mise aux enchères décevante de dettes gouvernementales du pays.
Le billet vert a également gagné un terrain plus modeste sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.33% pour chuter à 1.5808.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation en Grande-Bretagne avait augmenté comme prévu en août, prenant 4.5%, et une autre montrait que le déficit de la balance commerciale du pays était resté stable à 8.9 milliards de GBP en juillet.
Il a toutefois continué à subir la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.31% pour reprendre pied à 76.96 et l'USD/CHF ne grignotant plus que 0.28% pour culminer à 0.8823.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait pour sa part rappelé ce matin que le gouvernement et la banque centrale du pays devaient utiliser "toutes les mesures à leur disposition" pour lutter contre le renforcement de leur monnaie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 0.9928, l'AUD/USD cédant 0.23% pour se retrouver à 1.0322 et le NZD/USD arrachant 0.09% pour se hissser à 0.8238.
La National Australia Bank avait fait savoir en début de matinée que la confiance dans les affaires était tombée le mois dernier à son pire niveau depuis avril 2009, en raison des incertitudes mondiales et du spectre de la crise de la dette souveraine de la zone euro, mettant à mal le moral des acteurs économiques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a trébuché de 0.05% pour se situer à 77.82.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront aujourd'hui des rapports sur les prix à l'importation, ainsi que sur le solde du budget fédéral.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a beaucoup moins fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.21% pour tomber à 1.3648.
La monnaie unique s'était auparavant propulsée vers un nouveau pic journalier sur fond de bruits affirmant que les dirigeants de l'Allemagne et de la France annonceraient conjointement une initiative d'aide à la Grèce.
Les dividendes des bons du trésor italiens se sont quand à eux envolés vers des sommets jamais atteints depuis la mise en place de la monnaie unique après la mise aux enchères décevante de dettes gouvernementales du pays.
Le billet vert a également gagné un terrain plus modeste sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.33% pour chuter à 1.5808.
Une étude officielle avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation en Grande-Bretagne avait augmenté comme prévu en août, prenant 4.5%, et une autre montrait que le déficit de la balance commerciale du pays était resté stable à 8.9 milliards de GBP en juillet.
Il a toutefois continué à subir la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY dérapant de 0.31% pour reprendre pied à 76.96 et l'USD/CHF ne grignotant plus que 0.28% pour culminer à 0.8823.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait pour sa part rappelé ce matin que le gouvernement et la banque centrale du pays devaient utiliser "toutes les mesures à leur disposition" pour lutter contre le renforcement de leur monnaie.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 0.9928, l'AUD/USD cédant 0.23% pour se retrouver à 1.0322 et le NZD/USD arrachant 0.09% pour se hissser à 0.8238.
La National Australia Bank avait fait savoir en début de matinée que la confiance dans les affaires était tombée le mois dernier à son pire niveau depuis avril 2009, en raison des incertitudes mondiales et du spectre de la crise de la dette souveraine de la zone euro, mettant à mal le moral des acteurs économiques.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a trébuché de 0.05% pour se situer à 77.82.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront aujourd'hui des rapports sur les prix à l'importation, ainsi que sur le solde du budget fédéral.