Investing.com - Les options sur l'or étaient légèrement à la baisse ce jeudi, le dollar U.S. ayant progressé après que la Réserve Fédérale n'ait pas donné signe d'une volonté de mise en place de nouvelles mesures stimulatrices, tout en restant soutenues par le spectre de la crise de la dette grecque.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 543.35 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.25%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 542.6 USD, après avoir culminé à 1 558.1 USD lors de la session précédente, leur pire cours des sept dernières semaines.
La banque centrale américaine a en effet maintenu son taux d'intérêt directeur pour juin à 0.25%, sa plus faible valeur historique, et n'a pas laissé entendre que de nouvelles mesures stimulatrices seraient mises en place après l'achèvement à la fin du mois du programme d'achats d'obligations à hauteur de 600 milliards d'USD.
Dans son communiqué, elle a précisé avoir rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Lors de son discours en ayant suivi la publication, Ben Bernanke, son président, a déclaré qu'elle était à "au moins" deux ou trois réunions de distance d'un changement de politique monétaire, mais que cette période d'attente pourrait être "nettement plus longue", suivant l'évolution de l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.46% de son côté pour se situer à 75.64.
Le dollar fort diminue la demande de matériaux bruts, les matières premières aux prix libellés avec celui-ci ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
Les inquiétudes relatives à la dette souveraine grecque ont continué à tirer les cours vers le haut dans l'attente des deux jours de sommet économique des dirigeants européens à Bruxelles.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs plongé de 0.75% pour se retrouver à 36.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.33% pour tomber à 4.048 USD la livre dans le même temps.
L'organisme australien battant la monnaie à Perth a par ailleurs annoncé avoir vendu 10.7 millions de pièces d'argent d'une once depuis le premier juillet 2010, un record supérieur de 66% à l'année fiscale entière précédente, et environ dix fois plus que cinq ans auparavant.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1 543.35 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.25%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 542.6 USD, après avoir culminé à 1 558.1 USD lors de la session précédente, leur pire cours des sept dernières semaines.
La banque centrale américaine a en effet maintenu son taux d'intérêt directeur pour juin à 0.25%, sa plus faible valeur historique, et n'a pas laissé entendre que de nouvelles mesures stimulatrices seraient mises en place après l'achèvement à la fin du mois du programme d'achats d'obligations à hauteur de 600 milliards d'USD.
Dans son communiqué, elle a précisé avoir rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Lors de son discours en ayant suivi la publication, Ben Bernanke, son président, a déclaré qu'elle était à "au moins" deux ou trois réunions de distance d'un changement de politique monétaire, mais que cette période d'attente pourrait être "nettement plus longue", suivant l'évolution de l'économie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.46% de son côté pour se situer à 75.64.
Le dollar fort diminue la demande de matériaux bruts, les matières premières aux prix libellés avec celui-ci ayant tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises.
Les inquiétudes relatives à la dette souveraine grecque ont continué à tirer les cours vers le haut dans l'attente des deux jours de sommet économique des dirigeants européens à Bruxelles.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs plongé de 0.75% pour se retrouver à 36.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont perdu 0.33% pour tomber à 4.048 USD la livre dans le même temps.
L'organisme australien battant la monnaie à Perth a par ailleurs annoncé avoir vendu 10.7 millions de pièces d'argent d'une once depuis le premier juillet 2010, un record supérieur de 66% à l'année fiscale entière précédente, et environ dix fois plus que cinq ans auparavant.