Investing.com - Les options sur le brut étaient à la hausse pour la seconde journée consécutive ce mercredi, se maintenant proches de leur sommet des 27 derniers mois, dans l'expectative de la septième semaine de chute d'affilée des réserves des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.89 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.65%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.95 USD, leur cours le plus élevé depuis le 13 janvier. Leur validité prendra fin à la clôture des échanges de jeudi.
Ceux pour mars ont été plus actifs, caracolant même à 92.75, juste sous leur sommet des 27 mois écoulés à 92.86, après avoir tout de même raflé 0.61%.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait publier son rapport hebdomadaire sur les stocks nationaux d'or noir pour la semaine achevée le 14 janvier ce jeudi, soit un jour plus tard qu'habituellement, les marchés américains étant restés inactifs lundi pour cause de jour férié.
Le document devrait montrer une diminution de 1.1 millions de barils des réserves du pays, prolongeant les 2.2 millions de moins enregistrés la semaine passée.
Les stocks ont laissé filer 26.6 millions de barils, soit 7.4% lors des 6 dernières semaines, établissant la plus longue période de baisse ininterrompue depuis juillet 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.45%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Abdallah El-Badri, secrétaire général de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, a déclaré dans la soirée de mardi que les cours avaient été poussés vers le haut par "des problèmes techniques comme la récente mise hors service d'un oléoduc d'Alaska, les problèmes des champs de pétrole de la Mer du Nord et l'affaiblissement du dollar U.S.".
M. El-Badri a ajouté que l'organisation ne comptait pas augmenter la production de brut et que "Le baril à 100 USD ne pose pas de problèmes aux producteurs".
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs bondi de 1.07% pour s'échanger à 4.454 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont gagné 0.65% pour s'établir à 2.66 USD par gallon dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour février se sont échangés à 91.89 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.65%.
Ils avaient auparavant culminé à 91.95 USD, leur cours le plus élevé depuis le 13 janvier. Leur validité prendra fin à la clôture des échanges de jeudi.
Ceux pour mars ont été plus actifs, caracolant même à 92.75, juste sous leur sommet des 27 mois écoulés à 92.86, après avoir tout de même raflé 0.61%.
L'agence américaine d'information sur l'énergie devrait publier son rapport hebdomadaire sur les stocks nationaux d'or noir pour la semaine achevée le 14 janvier ce jeudi, soit un jour plus tard qu'habituellement, les marchés américains étant restés inactifs lundi pour cause de jour férié.
Le document devrait montrer une diminution de 1.1 millions de barils des réserves du pays, prolongeant les 2.2 millions de moins enregistrés la semaine passée.
Les stocks ont laissé filer 26.6 millions de barils, soit 7.4% lors des 6 dernières semaines, établissant la plus longue période de baisse ininterrompue depuis juillet 2009.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.45%.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Abdallah El-Badri, secrétaire général de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, a déclaré dans la soirée de mardi que les cours avaient été poussés vers le haut par "des problèmes techniques comme la récente mise hors service d'un oléoduc d'Alaska, les problèmes des champs de pétrole de la Mer du Nord et l'affaiblissement du dollar U.S.".
M. El-Badri a ajouté que l'organisation ne comptait pas augmenter la production de brut et que "Le baril à 100 USD ne pose pas de problèmes aux producteurs".
Les futures sur le gaz naturel pour février ont par ailleurs bondi de 1.07% pour s'échanger à 4.454 USD par million d'unités thermiques britanniques, et celles sur le carburant domestique pour une échéance identique ont gagné 0.65% pour s'établir à 2.66 USD par gallon dans le même temps.