Investing.com - Le dollar U.S. était en moins bonne forme face à ses principaux concurrents sur des marchés timides ce mardi, alors que se profilaient des ventes de dettes européennes qui devraient se révéler un test critique de la santé des économies vulnérables de la zone euro.
En première partie de séance européenne, il légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour grimper à 1.2959.
Yoshihiko Noda, ministre de finances japonais, avait déclaré en début de journée que son pays comptait faire l'acquisition d'environ un cinquième des bons que le fonds de secours européen mettra en vente au cours du mois pour financer le plan de sauvetage de l'Irlande.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD rognant 0.02% pour se hisser à 1.5578, alors que le British Retail Consortium avait précédemment annoncé pour décembre une baisse des ventes au détail nationales.
Le yen et le franc suisse ont subi sa pression d'autre part, l'USD/JPY gagnant 0.36% pour s'échanger à 83 et l'USD/CHF prenant 0.46% pour monter à 0.9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD s'effondrant de 0.92% pour couler à 0.9864 et le NZD/USD sombrant de 0.68% pour toucher le fond à 0.7582, et l'USD/CAD trébuchant de 0.19% vers 0.9913.
Des chiffres officiels publiés dans la matinée avaient auparavant montré pour novembre une régression supérieure aux craintes de l'excédent de la balance commerciale australienne, les exportations ayant été affaiblies par la force de la devise locale, tandis qu'une autre étude avait montré une hausse du nombre de permis de construire délivrés lors du même mois par la Nouvelle-Zélande.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.05%.
Les Etats-Unis devraient divulguer en cours de journée les chiffres officiels des réserves de leurs vendeurs en gros ainsi qu'un rapport sur l'optimisme économique.
En première partie de séance européenne, il légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.06% pour grimper à 1.2959.
Yoshihiko Noda, ministre de finances japonais, avait déclaré en début de journée que son pays comptait faire l'acquisition d'environ un cinquième des bons que le fonds de secours européen mettra en vente au cours du mois pour financer le plan de sauvetage de l'Irlande.
Le billet vert a également cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD rognant 0.02% pour se hisser à 1.5578, alors que le British Retail Consortium avait précédemment annoncé pour décembre une baisse des ventes au détail nationales.
Le yen et le franc suisse ont subi sa pression d'autre part, l'USD/JPY gagnant 0.36% pour s'échanger à 83 et l'USD/CHF prenant 0.46% pour monter à 0.9678.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD s'effondrant de 0.92% pour couler à 0.9864 et le NZD/USD sombrant de 0.68% pour toucher le fond à 0.7582, et l'USD/CAD trébuchant de 0.19% vers 0.9913.
Des chiffres officiels publiés dans la matinée avaient auparavant montré pour novembre une régression supérieure aux craintes de l'excédent de la balance commerciale australienne, les exportations ayant été affaiblies par la force de la devise locale, tandis qu'une autre étude avait montré une hausse du nombre de permis de construire délivrés lors du même mois par la Nouvelle-Zélande.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a perdu 0.05%.
Les Etats-Unis devraient divulguer en cours de journée les chiffres officiels des réserves de leurs vendeurs en gros ainsi qu'un rapport sur l'optimisme économique.