Investing.com - L'euro demeurait affaibli face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le moral des investisseurs ayant été malmené par les craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro et ses perspectives de croissance.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait légèrement, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour grimper à 1.2997.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que la demande pour les dettes espagnoles émises ce matin ait dépassé les espérances.
Le pays a en effet écoulé en début de journée pour 6 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme, dépassant ainsi largement les 3.5 milliards visés.
Ce total comprenant notamment 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à cinq ans à un taux moyen de 4.02%, soit nettement moins que les 5.27% enregistrés lors d'une vente similaire le mois dernier, mais aussi 1.4 milliards pour une échéance à dix ans, aveec 5.54% de dividendes contre 6.97% réalisés en novembre.
La devise de l'Europe demeurait toutefois sous pression après que la Banque Centrale Européenne ait auparavant prévenu en déut de journée que le problème du surendettement régional demeurait une menace tangible pour les perspectives de croissance.
Cette informations survenait après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait redressé la tête de manière surprenante pour décembre, mais stagnait toutefois en zone de contraction pour le quatrième mois consécutif.
Une autre avait quand à elle fait savoir que l'inflation des prix au détail était restée stable sans surprise à 3% en décembre.
La livre sterling ne lui a presque pas repris de terrain, l'EUR/GBP glissant de 0.08% pour chuter à 0.8385.
Des informations officielles avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail britanniques avaient davantage plongé en novembre qu'il n'avait été craint, les consommateurs modérant leurs dépenses.
Elle a également subi une légère pression du yen et une bien plus itense du franc suisse, l'EUR/JPY dérapant de 0.07% pour descendre à 101.28 et l'EUR/CHF dégringolant de 0.87% pour toucher le fond à 1.227.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux plancher de 1.2 CHF par euro, et rappelé être décidée à le défendre avec "la plus farouche détermination".
Elle a aussi prévenu de l'importance des incertitudes concernant les perspectives économique mondiales, estimant qu'une nouvelle aggravation de la crise de la dette de la zone euro n'était pas inenvisageable, tout en maintenant son taux d'intérêt de base proche de zéro.
Les autorités fédérales ont quand à elles fait savoir que la production industrielle helvétique avait davantage diminué au troisième trimestre qu'il n'avait été redouté.
Elle a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'EUR/CAD trébuchant de 0.03% pour descendre à 1.349, l'EUR/USD se faisant saper 0.01% pour se retrouver à 1.31 et l'EUR/NZD arrachant 0.12% pour culminer à 1.7316.
Il avait été signalé en début de matinée l'inflation attendue en Australie avait légèrement diminué, passant à 2.4% pour décembre, tandis que les ventes nationales de véhicules neufs avaient régressé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 81.28.
Les Etats-Unis devaient pour leur part publier l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix à la production, et l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.
En fin de première partie de séance européenne, le dollar U.S. fléchissait légèrement, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour grimper à 1.2997.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que la demande pour les dettes espagnoles émises ce matin ait dépassé les espérances.
Le pays a en effet écoulé en début de journée pour 6 milliards d'euros d'obligations à moyen et long terme, dépassant ainsi largement les 3.5 milliards visés.
Ce total comprenant notamment 2.5 milliards d'euros en bons du trésor à cinq ans à un taux moyen de 4.02%, soit nettement moins que les 5.27% enregistrés lors d'une vente similaire le mois dernier, mais aussi 1.4 milliards pour une échéance à dix ans, aveec 5.54% de dividendes contre 6.97% réalisés en novembre.
La devise de l'Europe demeurait toutefois sous pression après que la Banque Centrale Européenne ait auparavant prévenu en déut de journée que le problème du surendettement régional demeurait une menace tangible pour les perspectives de croissance.
Cette informations survenait après qu'une étude ait montré que l'activité manufacturière de la zone euro avait redressé la tête de manière surprenante pour décembre, mais stagnait toutefois en zone de contraction pour le quatrième mois consécutif.
Une autre avait quand à elle fait savoir que l'inflation des prix au détail était restée stable sans surprise à 3% en décembre.
La livre sterling ne lui a presque pas repris de terrain, l'EUR/GBP glissant de 0.08% pour chuter à 0.8385.
Des informations officielles avaient indiqué dans la matinée que les ventes au détail britanniques avaient davantage plongé en novembre qu'il n'avait été craint, les consommateurs modérant leurs dépenses.
Elle a également subi une légère pression du yen et une bien plus itense du franc suisse, l'EUR/JPY dérapant de 0.07% pour descendre à 101.28 et l'EUR/CHF dégringolant de 0.87% pour toucher le fond à 1.227.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux plancher de 1.2 CHF par euro, et rappelé être décidée à le défendre avec "la plus farouche détermination".
Elle a aussi prévenu de l'importance des incertitudes concernant les perspectives économique mondiales, estimant qu'une nouvelle aggravation de la crise de la dette de la zone euro n'était pas inenvisageable, tout en maintenant son taux d'intérêt de base proche de zéro.
Les autorités fédérales ont quand à elles fait savoir que la production industrielle helvétique avait davantage diminué au troisième trimestre qu'il n'avait été redouté.
Elle a par ailleurs été dominée par ses homologues canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'EUR/CAD trébuchant de 0.03% pour descendre à 1.349, l'EUR/USD se faisant saper 0.01% pour se retrouver à 1.31 et l'EUR/NZD arrachant 0.12% pour culminer à 1.7316.
Il avait été signalé en début de matinée l'inflation attendue en Australie avait légèrement diminué, passant à 2.4% pour décembre, tandis que les ventes nationales de véhicules neufs avaient régressé.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 81.28.
Les Etats-Unis devaient pour leur part publier l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, l'inflation des prix à la production, et l'activité manufacturière dans les régions de New York et Philadelphie.