Investing.com - Le dollar U.S. était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi, l'activité restant faible en raison des vacances de fin d'année, et alors que le marchés attendaient encore une série de résultats américains cruciaux portant sur l'immobilier et le moral des consommateurs.
Les places de Grande-Bretagne, d'Australie, de Nouvelle-Zélande et du Canada restant fermées pour célébrer l'après-noël et bien des investisseurs étant déjà partis en congés de fin d'année, les volumes des transactions sont restés faibles, rendant les échanges volatils.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.31% pour grimper à 1.3207.
Des informations provenant des autorités avaient auparavant indiqué que l'économie de la France avait connu au troisième trimestre une progression inférieure aux attentes, ne prenant que 0.3% contre les 0.4% précédemment estimés, alors que analystes s'étaient pourtant attendus à voir le produit intérieur brut gagner 0.4% sur la période considérée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.5483. Une étude du British Retail Consortium avait précédemment montré qu'environ 66% des revendeurs de Grande-Bretagne s'attendaient à voir les ventes décliner en 2011, tandis que le groupe de recherches Synovate Retail Performance enregistrait un effondrement de presque 25% du nombre des clients de l'après-noël par rapport à 2009.
Il a d'autre part nettement craqué sous la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY sombrant de 1.03% pour se retrouver à 81.95, son creux des 7 semaines passées, et l'USD/CHF dégringolant de 1.18% pour tomber à 0.9487 après avoir plongé jusqu'à des profondeurs jamais atteintes à 0.9438.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait affirmé ce matin que la récente hausse de la monnaie de l'archipel avait été "à sens unique", laissant à penser qu'une nouvelle action nippone sur le marché des changes n'était pas à exclure.
Un rapport UBS avait préalablement indiqué que son indice de la consommation helvétique de novembre était tombé à 1.63 points, contre 1.71 pour le mois précédent, dont l'estimation à 1.72 a dû être révisée à la baisse. Il est cependant resté supérieur à sa moyenne à long terme de 1.5, montrant que la croissance de la consommation était encore toutefois supérieure à la normale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD tombant de 0.79% vers 0.9988, l'AUD/USD raflant 0.91% pour monter à 1.0138 et le NZD/USD engrangeant 0.9% pour culminer à 0.757, pic des 3 semaines passées.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.49%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître une série d'informations en cours de journée, concernant notamment les prix des logements, la confiance de leurs consommateurs ainsi que l'activité manufacturière dans la zone de Richmond.
Les places de Grande-Bretagne, d'Australie, de Nouvelle-Zélande et du Canada restant fermées pour célébrer l'après-noël et bien des investisseurs étant déjà partis en congés de fin d'année, les volumes des transactions sont restés faibles, rendant les échanges volatils.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.31% pour grimper à 1.3207.
Des informations provenant des autorités avaient auparavant indiqué que l'économie de la France avait connu au troisième trimestre une progression inférieure aux attentes, ne prenant que 0.3% contre les 0.4% précédemment estimés, alors que analystes s'étaient pourtant attendus à voir le produit intérieur brut gagner 0.4% sur la période considérée.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.39% pour se hisser à 1.5483. Une étude du British Retail Consortium avait précédemment montré qu'environ 66% des revendeurs de Grande-Bretagne s'attendaient à voir les ventes décliner en 2011, tandis que le groupe de recherches Synovate Retail Performance enregistrait un effondrement de presque 25% du nombre des clients de l'après-noël par rapport à 2009.
Il a d'autre part nettement craqué sous la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY sombrant de 1.03% pour se retrouver à 81.95, son creux des 7 semaines passées, et l'USD/CHF dégringolant de 1.18% pour tomber à 0.9487 après avoir plongé jusqu'à des profondeurs jamais atteintes à 0.9438.
Yoshihiko Noda, ministre des finances japonais, avait affirmé ce matin que la récente hausse de la monnaie de l'archipel avait été "à sens unique", laissant à penser qu'une nouvelle action nippone sur le marché des changes n'était pas à exclure.
Un rapport UBS avait préalablement indiqué que son indice de la consommation helvétique de novembre était tombé à 1.63 points, contre 1.71 pour le mois précédent, dont l'estimation à 1.72 a dû être révisée à la baisse. Il est cependant resté supérieur à sa moyenne à long terme de 1.5, montrant que la croissance de la consommation était encore toutefois supérieure à la normale.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD tombant de 0.79% vers 0.9988, l'AUD/USD raflant 0.91% pour monter à 1.0138 et le NZD/USD engrangeant 0.9% pour culminer à 0.757, pic des 3 semaines passées.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.49%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux faire connaître une série d'informations en cours de journée, concernant notamment les prix des logements, la confiance de leurs consommateurs ainsi que l'activité manufacturière dans la zone de Richmond.