Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que l'euro retombait, sa flambée dûe à l'attente d'une hausse des taux de la Banque Centrale Européenne étant désormais considérée comme prise en compte dans les cours.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour tomber à 1.4221.
Une étude avait auparavant montré que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait davantage diminué en mars que prévu.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.21% pour chuter à 1.6145.
Un rapport indiquait ce matin que le domaine du bâtiment britannique avait progressé le mois dernier de manière moins ralentie que prévu.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.03% pour glisser à 84.05 et l'USD/CHF perdant 0.11% pour reprendre pied à 0.9228.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD hoquetant de 0.03% pour descendre à 0.9628, l'AUD/USD cédant 0.06% pour se retrouver à 1.0379 et le NZD/USD arrachant 0.07% pour culminer à 0.7682.
Il avait été révélé dans la matinée que l'inflation australienne avait accéléré en mars, et que le nombre des offres d'emploi publiées en ligne et dans les journaux avait par ailleurs progressé dans le même temps pour le onzième mois d'affilée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.13%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prononcer un discours dans la journée.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.09% pour tomber à 1.4221.
Une étude avait auparavant montré que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait davantage diminué en mars que prévu.
Le billet vert a toutefois cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.21% pour chuter à 1.6145.
Un rapport indiquait ce matin que le domaine du bâtiment britannique avait progressé le mois dernier de manière moins ralentie que prévu.
Il a également subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY se laissant grignoter 0.03% pour glisser à 84.05 et l'USD/CHF perdant 0.11% pour reprendre pied à 0.9228.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD hoquetant de 0.03% pour descendre à 0.9628, l'AUD/USD cédant 0.06% pour se retrouver à 1.0379 et le NZD/USD arrachant 0.07% pour culminer à 0.7682.
Il avait été révélé dans la matinée que l'inflation australienne avait accéléré en mars, et que le nombre des offres d'emploi publiées en ligne et dans les journaux avait par ailleurs progressé dans le même temps pour le onzième mois d'affilée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a engrangé 0.13%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait quand à lui prononcer un discours dans la journée.