Investing.com - Le dollar U.S. était légèrement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les investisseurs demeurant prudents après la dernière réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale aéricaine et à l'approche des ventes aux enchères d'obligations italiennes et allemandes.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.01% pour grimper à 1.3039.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après que la banque centrale des Etats-Unis ait souligné les progrès modérés de l'économie du pays, mais ajouté que les turbulences déclenchées sur les marchés par la crise de la dette de la zone euro posaient de gros risques.
Ses décideurs ont aussi répété que les taux d'intérêt à court terme avaient toutes les chances de demeurer proches de zéro au moins jusqu'à la mi-2013.
La popularité de la monnaie unique a pour sa part été mise à mal par Angela Merkel, la chancelière allemande, rappelant son opposition à une augmentation des 500 milliards d'euros du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours permanent au bloc.
Les coûts des emprunts italiens sont quand à eux remontés au-dessus des 7% à l'orée de la mise en vente d'un maximum de 3 milliards d'euros en obligations nationales courant jusqu'en 2016 dans la journée, tandis que l'Allemagne comptait faire de même avec 5 milliards d'euros en bons du trésor à deux ans.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.21% pour se hisser à 1.5512.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redooutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
Il a d'autre part subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 77.97 et l'USD/CHF arrachant 0.01% pour frémir à 0.9456.
Un rapport émanant des autorités suisses avait indiqué ce matin que l'indice des prix à la production avait davantage baissé en novembre que prévu, reculant de 0.8% contre 0.2% en octobre.
Les spécialistes ne pensaient pas le voir perdre plus de 0.2% dans le même temps.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienneet néo-zélandaise, mais pas l'australienne l'USD/CAD encaissant 0.13% pour aller vers 1.0351, l'AUD/USD raflant 0.01% pour monter à 1.0016 et le NZD/USD dérapant de 0.22% pour toucher le fond à 0.755.
Il avait été montré en début de matinée que le baromètre du moral des consommateurs émanant de la Westpac banking Corporation était tombé en novembre à son niveau le plus faible depuis août, plongeant de 8.3% après avoir pourtant bondi de 6.3% le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.05%, se maintenant toutefois aux abords de son plafond des deux derniers mois à 80.93.
Les Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'évolution de leurs prix à l'importation ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières.
En première partie de séance européenne, il a légèrement fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.01% pour grimper à 1.3039.
L'atmosphère s'est en effet assombrie après que la banque centrale des Etats-Unis ait souligné les progrès modérés de l'économie du pays, mais ajouté que les turbulences déclenchées sur les marchés par la crise de la dette de la zone euro posaient de gros risques.
Ses décideurs ont aussi répété que les taux d'intérêt à court terme avaient toutes les chances de demeurer proches de zéro au moins jusqu'à la mi-2013.
La popularité de la monnaie unique a pour sa part été mise à mal par Angela Merkel, la chancelière allemande, rappelant son opposition à une augmentation des 500 milliards d'euros du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours permanent au bloc.
Les coûts des emprunts italiens sont quand à eux remontés au-dessus des 7% à l'orée de la mise en vente d'un maximum de 3 milliards d'euros en obligations nationales courant jusqu'en 2016 dans la journée, tandis que l'Allemagne comptait faire de même avec 5 milliards d'euros en bons du trésor à deux ans.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.21% pour se hisser à 1.5512.
Une étude officielle avait auparavant signalé que le nombre de personnes inscrites au chômage au Royaume-Uni avait moins augmenté en novembre qu'il n'avait été craint, avec 3 000 personnes contre 2 500 le mois précédent.
Les experts redooutaient de le voir augmenter de 16 100 personnes pour la période considérée.
Elle précisait également que le taux de chômage demeurait stable à 8.3%, au lieu de s'élever à 8.4% comme prévu.
Il a d'autre part subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 77.97 et l'USD/CHF arrachant 0.01% pour frémir à 0.9456.
Un rapport émanant des autorités suisses avait indiqué ce matin que l'indice des prix à la production avait davantage baissé en novembre que prévu, reculant de 0.8% contre 0.2% en octobre.
Les spécialistes ne pensaient pas le voir perdre plus de 0.2% dans le même temps.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienneet néo-zélandaise, mais pas l'australienne l'USD/CAD encaissant 0.13% pour aller vers 1.0351, l'AUD/USD raflant 0.01% pour monter à 1.0016 et le NZD/USD dérapant de 0.22% pour toucher le fond à 0.755.
Il avait été montré en début de matinée que le baromètre du moral des consommateurs émanant de la Westpac banking Corporation était tombé en novembre à son niveau le plus faible depuis août, plongeant de 8.3% après avoir pourtant bondi de 6.3% le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.05%, se maintenant toutefois aux abords de son plafond des deux derniers mois à 80.93.
Les Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui l'évolution de leurs prix à l'importation ainsi que l'inventaire de leurs réserves pétrolières.