Investing.com - L'euro s'est retrouvé circonscrit dans une fourchette étroite face à ses principaux concurrents ce mardi, la confiance se trouvant encouragée par l'espoir que la Banque Centrale Européenne agira sous peu afin de renflouer l'économie de la région.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le dollar U.S. pour se rapprocher d'un pic des deux derniers mois, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour se hisser à 1.2596.
La monnaie unique restait populaire grâce à l'attente de l'annonce par la BCE après son conseil d'orientation de jeudi des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires régionaux.
Elle n'a d'autre part guère fait cas du placement ce matin par l'agence de notation Moody's de la notation triple A de l'Union Européenne auparavant stable sous une perspective négative.
La prochaine prise de cap de la Réserve Fédérale des Etats-Unis sera également surveillée de près, en raison des rumeurs sur sa propension à injecter davantage de capitaux.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP prenant 0.11% pour grimper à 0.7933.
Les inquiétudes au sujet du futur du Royaume-Uni s'étaient quand à elles trouvées ravivées après qu'il ait été montré que l'activité dans la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national établi par le groupe de recherches économiques Markit a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Le yen a aussi subi sa pression, pour la laisser en vue d'un sommet des six semaines écoulées, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour s'élever à 98.8, mais le franc suisse lui a bien résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.01% pour frémir à 1.201.
Des informations émanant du gouvernement helvète avaient auparavant souligné que le produit intérieur brut de la confédération avait subi au second trimestre un revers inattendu de 0.1%, au lieu des 0.2% espérés, en raison de la faiblesse des exportations à destination du bloc euro.
Mais son économie a tout de même progressé de 0.5% annualisés d'avril à juin, par rapport à la même période de l'année précédente.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs été dominées, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD rognant 0.03% pour se situer à 1.2292, l'EUR/CAD laissant échapper 0.07% pour glisser à 1.2404 et l'EUR/NZD engrangeant 0.37% pour culminer à 1.5845.
La Réserve Bancaire d'Australie avait fait savoir en début de matinée qu'elle maintenait sans surprise son taux d'intérêt directeur à 3.5%, ajoutant que sa politique monétaire lui semblait appropriée, malgré le ralentissement de la croissance mondiale.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport sur l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le dollar U.S. pour se rapprocher d'un pic des deux derniers mois, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour se hisser à 1.2596.
La monnaie unique restait populaire grâce à l'attente de l'annonce par la BCE après son conseil d'orientation de jeudi des détails d'un plan destiné à stabiliser les marchés obligataires régionaux.
Elle n'a d'autre part guère fait cas du placement ce matin par l'agence de notation Moody's de la notation triple A de l'Union Européenne auparavant stable sous une perspective négative.
La prochaine prise de cap de la Réserve Fédérale des Etats-Unis sera également surveillée de près, en raison des rumeurs sur sa propension à injecter davantage de capitaux.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, l'EUR/GBP prenant 0.11% pour grimper à 0.7933.
Les inquiétudes au sujet du futur du Royaume-Uni s'étaient quand à elles trouvées ravivées après qu'il ait été montré que l'activité dans la construction britannique avait diminué sans crier gare en août, les nouvelles commandes subissant leur plus forte baisse depuis avril 2009.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine du bâtiment national établi par le groupe de recherches économiques Markit a en effet plongé de 50.9 vers 49, alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 50 pour la période considérée.
Le yen a aussi subi sa pression, pour la laisser en vue d'un sommet des six semaines écoulées, l'EUR/JPY gagnant 0.27% pour s'élever à 98.8, mais le franc suisse lui a bien résisté, l'EUR/CHF n'arrachant que 0.01% pour frémir à 1.201.
Des informations émanant du gouvernement helvète avaient auparavant souligné que le produit intérieur brut de la confédération avait subi au second trimestre un revers inattendu de 0.1%, au lieu des 0.2% espérés, en raison de la faiblesse des exportations à destination du bloc euro.
Mais son économie a tout de même progressé de 0.5% annualisés d'avril à juin, par rapport à la même période de l'année précédente.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise ont par ailleurs été dominées, mais pas la canadienne, l'EUR/AUD rognant 0.03% pour se situer à 1.2292, l'EUR/CAD laissant échapper 0.07% pour glisser à 1.2404 et l'EUR/NZD engrangeant 0.37% pour culminer à 1.5845.
La Réserve Bancaire d'Australie avait fait savoir en début de matinée qu'elle maintenait sans surprise son taux d'intérêt directeur à 3.5%, ajoutant que sa politique monétaire lui semblait appropriée, malgré le ralentissement de la croissance mondiale.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi son rapport sur l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier des Etats-Unis.