Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, notamment contre son homologue nippon, sans s'envoler par rapport aux autres, à la veille de l'audition de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, et de la divulgation du procès-verbal de la dernière prise de cap de celle-ci.
En première partie de séance européenne, il a rattrapé une partie des pertes infligées hier par le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,38% pour se hisser à 102,64.
La devise nippone a en effet molli après que le ministre de l'économie du Japon Akira Amari ait exprimé l'espoir qu'elle se stabilise à un niveau correspondant aux facteur économiques fondamentaux.
Il avait déjà déclaré dimanche qu'ils étaient nombreux à estimer que sa survalorisation était désormais proche d'être corrigée, et qu'une poursuite de sa dépréciation pourrait être nuisible à la troisième économie mondiale.
L'euro a cependant fait mieux que résister devant lui, l'EUR/USD grignotant 0,01% pour se hisser à 1,2883.
La prudence demeurait de mise, les yeux étant braqués sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine fera demain devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci, à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une diminution de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5228, le franc suisse subissant moindrement sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,04% pour culminer à 0,9672.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,02% pour se retrouver à 0,9671, le NZD/USD frémissant de 010% pour culminer à 0,8179 et l'USD/CAD prenant 0,19% pour monter à 1,0261.
Il avait été signalé à l'aube dans le récit détaillé de la réunion du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci que la faiblesse de l'inflation, l'affaiblissement de la croissance économique et la force de la devise nationale lui permettaient d'avoir les coudées franches pour raboter de nouveau ses taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 84,02.
En première partie de séance européenne, il a rattrapé une partie des pertes infligées hier par le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,38% pour se hisser à 102,64.
La devise nippone a en effet molli après que le ministre de l'économie du Japon Akira Amari ait exprimé l'espoir qu'elle se stabilise à un niveau correspondant aux facteur économiques fondamentaux.
Il avait déjà déclaré dimanche qu'ils étaient nombreux à estimer que sa survalorisation était désormais proche d'être corrigée, et qu'une poursuite de sa dépréciation pourrait être nuisible à la troisième économie mondiale.
L'euro a cependant fait mieux que résister devant lui, l'EUR/USD grignotant 0,01% pour se hisser à 1,2883.
La prudence demeurait de mise, les yeux étant braqués sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine fera demain devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci, à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une diminution de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,18% pour chuter à 1,5228, le franc suisse subissant moindrement sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,04% pour culminer à 0,9672.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,02% pour se retrouver à 0,9671, le NZD/USD frémissant de 010% pour culminer à 0,8179 et l'USD/CAD prenant 0,19% pour monter à 1,0261.
Il avait été signalé à l'aube dans le récit détaillé de la réunion du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci que la faiblesse de l'inflation, l'affaiblissement de la croissance économique et la force de la devise nationale lui permettaient d'avoir les coudées franches pour raboter de nouveau ses taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,13% pour se situer à 84,02.