Investing.com - Le dollar U.S. a recouvré la forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi matin, profitant des rumeurs selon lesquelles son émettrice pourrait réduire l'ampleur de ses injections de liquidités.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,19% pour se hisser à 102,14.
Ce dernier flanchait par rapport à ses homologues américain et européen, alors que l'indice Nikkei 225 japonais se remettait de son extrême volatilité des dernières sessions.
La devise des Etats-Unis gardait des couleurs grâce aux attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Son président Ben Bernanke avait en effet semé la confusion la semaine passée en déclarant qu'une telle décision pourrait être prise "lors des toutes prochaines prises de cap" en cas de résultats exceptionnellement encourageants.
Il en était de même mais dans une moindre mesure avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,18% pour tomber à 1,2906.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5091.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,66% pour culminer à 0,9694.
La monnaie américaine a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,38% pour se retrouver à 0,9668, le NZD/USD arrachant 0,39% pour culminer à 0,8112 et l'USD/CAD prenant 0,14% pour monter à 1,0350.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 83,98.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY grimpant de 1,19% pour se hisser à 102,14.
Ce dernier flanchait par rapport à ses homologues américain et européen, alors que l'indice Nikkei 225 japonais se remettait de son extrême volatilité des dernières sessions.
La devise des Etats-Unis gardait des couleurs grâce aux attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Son président Ben Bernanke avait en effet semé la confusion la semaine passée en déclarant qu'une telle décision pourrait être prise "lors des toutes prochaines prises de cap" en cas de résultats exceptionnellement encourageants.
Il en était de même mais dans une moindre mesure avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,18% pour tomber à 1,2906.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,08% pour chuter à 1,5091.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,66% pour culminer à 0,9694.
La monnaie américaine a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD empochant 0,38% pour se retrouver à 0,9668, le NZD/USD arrachant 0,39% pour culminer à 0,8112 et l'USD/CAD prenant 0,14% pour monter à 1,0350.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 83,98.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.