Investing.com - L'euro a perdu pied face à la livre sterling ce mardi, mais a cependant bénéficié du soutien de l'attente du communiqué budgétaire britanique de l'automne, ainsi que d'une vente de dettes italiennes réussie.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8586 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 novembre, puis s'est stabilisée vers 0.8566, perdant tout de même 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8545, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 0.8619, son plafond du 24 novembre.
L'Italie a en effet écoulé pour 7.5 milliards d'euros de dettes, les coûts des emprunts bondissant cependant vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro, culminant à 7.89% pour les bons à trois ans, et 7.56% pour ceux à dix ans, contre 6.06% lors d'une mise aux enchères siminaire tenue le mois dernier.
La monnaie unique a cependant retrouvé des partisans, après que les dividendes italiens soient retombés des pics ayant précédé cette vente, celui à deux ans repassant sous la barre cruciale des 7%.
Au Royaume-Uni, les investisseurs attendaient l'annonce d'automne sur le budget du gouvernement britannique, qui devrait vraisemblablement revoir les prévisions de croissance nationales en nette baisse, sur fond de signes d'affaiblissement de l'économie.
La Banque d'Angleterre avait fait savoir ce matin que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté de 1.3 milliards de GBP en octobre, au lieu du million attendu.
Son rapport montrait également que le nombre des accords définitifs de prêts hypothécaires avait davantage augmenté poru le mois que prévu, s'élevant à 53 000 contre 51 000 en septembre.
Les informations provenant ce matin du prêteur immobilier britannique Nationwide montraient quand à elles une hausse inattendue des prix des habitations pour ce mois-ci se montant à 0.4%, alors qu'une décote de 0.1% était attendue.
Cette bonne nouvelle n'a cependant pas été estimée comme annonciatrice d'une relance du secteur du logement, étant donné la faiblesse générale des perspectives économiques.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné un terrain substantiel sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD bonndissant de 0.78% pour se hisser à 1.5632.
Les ministres de finances de la zone euro devaient pour leur part se rencontrer dans l'après-midi afin de se mettre d'accord sur les détails de l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours régional, ainsi que sur l'attribution probable de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.8586 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 novembre, puis s'est stabilisée vers 0.8566, perdant tout de même 0.22%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8545, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 0.8619, son plafond du 24 novembre.
L'Italie a en effet écoulé pour 7.5 milliards d'euros de dettes, les coûts des emprunts bondissant cependant vers des sommets jamais vus depuis l'introduction de l'euro, culminant à 7.89% pour les bons à trois ans, et 7.56% pour ceux à dix ans, contre 6.06% lors d'une mise aux enchères siminaire tenue le mois dernier.
La monnaie unique a cependant retrouvé des partisans, après que les dividendes italiens soient retombés des pics ayant précédé cette vente, celui à deux ans repassant sous la barre cruciale des 7%.
Au Royaume-Uni, les investisseurs attendaient l'annonce d'automne sur le budget du gouvernement britannique, qui devrait vraisemblablement revoir les prévisions de croissance nationales en nette baisse, sur fond de signes d'affaiblissement de l'économie.
La Banque d'Angleterre avait fait savoir ce matin que les prêts nets aux particuliers avaient augmenté de 1.3 milliards de GBP en octobre, au lieu du million attendu.
Son rapport montrait également que le nombre des accords définitifs de prêts hypothécaires avait davantage augmenté poru le mois que prévu, s'élevant à 53 000 contre 51 000 en septembre.
Les informations provenant ce matin du prêteur immobilier britannique Nationwide montraient quand à elles une hausse inattendue des prix des habitations pour ce mois-ci se montant à 0.4%, alors qu'une décote de 0.1% était attendue.
Cette bonne nouvelle n'a cependant pas été estimée comme annonciatrice d'une relance du secteur du logement, étant donné la faiblesse générale des perspectives économiques.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné un terrain substantiel sur le dollar U.S. avec un couple GBP/USD bonndissant de 0.78% pour se hisser à 1.5632.
Les ministres de finances de la zone euro devaient pour leur part se rencontrer dans l'après-midi afin de se mettre d'accord sur les détails de l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen, servant de fonds de secours régional, ainsi que sur l'attribution probable de la prochaine tranche d'aides financières à la Grèce.