Investing.com - L'euro était en fâcheuse posture face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les investisseurs demeurant circonspects en l'absence d'annonce concernant l'accord de restructuration de la dette grecque.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissant devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD glissant de 0.19% pour tomber à 1.3135.
Les représentants européens laissaient entendre en début de semaine que les négociations entre la Grèce et ses créancieres privés visant à dévaluer les obligations qu'ils détiennent approchaient de leur conclusion, mais le second plan de sauvetage et toute action de la part des institution doivent également faire l'objet d'un consensus avant qu'un accord puisse être annoncé.
L'Espagne a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, à des taux bien inférieurs aux précédents.
Elle a ainsi écoulé pour 2.52 milliards d'euros en bons à trois ans à 2.8%, contre 3.38 en janvier, et 1.05 milliards d'emprunts quinquennaux à 3.5% au lieu des 5.5% du mois dernier.
La France a fait de même avec 8 milliards d'euros de dettes gouvernementales, rencontrant une forte demande avec des dividendes diminués.
Une étude officielle avait par ailleurs indiqué que les coûts de production de la zone euro avaient diminué en décembre, reculant de 0.2% après avoir pris le même pourcentage en novembre.
Il était précisé que l'indice des prix à la production avait avancé de 4.3% d'une année sur l'autre, contre 5.4% en novembre
La monnaie unique a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.17% pour chuter à 0.8303.
Il avait auparavant été montré que l'expansion du secteur du bâtiment du Royaume-Uni avait été plus lente en janvier qu'espéré, la croissance des nouvelles commandes ayant été paresseuse et certains contrats étant achevés.
Elle a également subi la pression du yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.27% pour descendre jusqu'à 100.03.
Il n'en a toutefois pas été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.09% pour se hisser à 1.2055.
Ellee demeurait toutefois proche de son plus bas niveau historique par rapport à son homologue australienne, établissant par ailleurs un nouveau plancher historique contre son adversaire néo-zélandaise, l'EUR/AUD perdant 0.16% pour se situer à 1.2274 et l'EUR/NZD diminuant de 0.16% aussi pour reprendre pied à 1.5779.
Le dollar australien s'était trouvé revigoré après qu'il ait été annoncé en début de matinée que la balance commerciale du pays avait réalisé un excédent supérieur aux attentes, totalisant 1.71 milliaards d'AUD contre 1.2 milliards espérés.
La tendance n'a pas été démentie par le dollar canadien, l'EUR/CAD sombrant de 0.1% pour plonger à 1.3127.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui cet après-midi devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, il fléchissant devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD glissant de 0.19% pour tomber à 1.3135.
Les représentants européens laissaient entendre en début de semaine que les négociations entre la Grèce et ses créancieres privés visant à dévaluer les obligations qu'ils détiennent approchaient de leur conclusion, mais le second plan de sauvetage et toute action de la part des institution doivent également faire l'objet d'un consensus avant qu'un accord puisse être annoncé.
L'Espagne a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, à des taux bien inférieurs aux précédents.
Elle a ainsi écoulé pour 2.52 milliards d'euros en bons à trois ans à 2.8%, contre 3.38 en janvier, et 1.05 milliards d'emprunts quinquennaux à 3.5% au lieu des 5.5% du mois dernier.
La France a fait de même avec 8 milliards d'euros de dettes gouvernementales, rencontrant une forte demande avec des dividendes diminués.
Une étude officielle avait par ailleurs indiqué que les coûts de production de la zone euro avaient diminué en décembre, reculant de 0.2% après avoir pris le même pourcentage en novembre.
Il était précisé que l'indice des prix à la production avait avancé de 4.3% d'une année sur l'autre, contre 5.4% en novembre
La monnaie unique a aussi cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.17% pour chuter à 0.8303.
Il avait auparavant été montré que l'expansion du secteur du bâtiment du Royaume-Uni avait été plus lente en janvier qu'espéré, la croissance des nouvelles commandes ayant été paresseuse et certains contrats étant achevés.
Elle a également subi la pression du yen, l'EUR/JPY laissant échapper 0.27% pour descendre jusqu'à 100.03.
Il n'en a toutefois pas été de même avec le franc suisse, l'EUR/CHF arrachant 0.09% pour se hisser à 1.2055.
Ellee demeurait toutefois proche de son plus bas niveau historique par rapport à son homologue australienne, établissant par ailleurs un nouveau plancher historique contre son adversaire néo-zélandaise, l'EUR/AUD perdant 0.16% pour se situer à 1.2274 et l'EUR/NZD diminuant de 0.16% aussi pour reprendre pied à 1.5779.
Le dollar australien s'était trouvé revigoré après qu'il ait été annoncé en début de matinée que la balance commerciale du pays avait réalisé un excédent supérieur aux attentes, totalisant 1.71 milliaards d'AUD contre 1.2 milliards espérés.
La tendance n'a pas été démentie par le dollar canadien, l'EUR/CAD sombrant de 0.1% pour plonger à 1.3127.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui cet après-midi devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.