Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que les craintes concernant les perspectives de croissance continuaient à dominer l'atmosphère, soutenant sa popularité en tant que valeur sûre.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2277.
Le blason de la monnaie unique restait terni après qu'il ait été indiqué que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait reculé en juillet jusqu'à son pire niveau depuis le même mois de l'année 2009, constituant du même coup son douzième mois d'affilée en territoire négatif.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de celle-ci passer de -28.9 en juin à -29.6.
La devise européenne avait plongé vendredi dans un gouffre des deux dernières années après que le bureau des statistiques du travail des Etats-Unis ait annoncé que l'économie du pays n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des ministres des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.04% pour chuter à 1.5482.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après que les membres du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre aient déclaré jeudi: "Les probabilités de ralentissement de l'inflation du pays entraînent une marge de manoeuvre plus grande et plus durable."
Ils avaient auparavant voté une augmentation jusqu'à 375 milliards de GBP du volume de ses achats d'actifs, tout en maintenant sans surprise le taux de base stable aux 0.5% adoptés depuis mars 2009.
Le yen a par contre résisté à sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY demeurant à 79.67 et l'USD/CHF grignotant 0.1% pour culminer à 0.9783.
Des informations émanant des autorités nippones avaient pour leur part révélé que l'excédent du commerce extérieur national avait plongé en mai vers 280 milliards de JPY, son niveau le plus bas depuis 1985, contre 290 précédemment.
Une autre étude faisait quand à elle savoir que les commandes de machines de base avaient connu une dégringolade de 14.8% dans le même temps, la pire des sept dernières années, pulvérisant les 2.4% déjà redoutés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.1% pour monter à 1.0205, l'AUD/USD cédant 0.48% pour se retrouver à 1.0162 et le NZD/USD se laissant arracher 0.51% pour toucher le fond à 0.7938.
Des spécialistes avaient avoué en début de matinéée que le nombre des offres d'emploi publiées en Australie avait plongé de 1.2% en juin, prolongeant les 2.6% de mai.
Les devises fortement liées à la croissance avaient été mises à mal par des chiffres des autorités chinoises montrant en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande amplitude de mouvement pour assouplir sa politique monétaire.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.08% pour se situer à 83.54.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part témoigner aujourd'hui à Bruxelles devant le parlement européen.
En première partie de séance européenne, l'euro a légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.07% pour descendre à 1.2277.
Le blason de la monnaie unique restait terni après qu'il ait été indiqué que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait reculé en juillet jusqu'à son pire niveau depuis le même mois de l'année 2009, constituant du même coup son douzième mois d'affilée en territoire négatif.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de celle-ci passer de -28.9 en juin à -29.6.
La devise européenne avait plongé vendredi dans un gouffre des deux dernières années après que le bureau des statistiques du travail des Etats-Unis ait annoncé que l'économie du pays n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des ministres des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Le billet vert a également gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.04% pour chuter à 1.5482.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après que les membres du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre aient déclaré jeudi: "Les probabilités de ralentissement de l'inflation du pays entraînent une marge de manoeuvre plus grande et plus durable."
Ils avaient auparavant voté une augmentation jusqu'à 375 milliards de GBP du volume de ses achats d'actifs, tout en maintenant sans surprise le taux de base stable aux 0.5% adoptés depuis mars 2009.
Le yen a par contre résisté à sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY demeurant à 79.67 et l'USD/CHF grignotant 0.1% pour culminer à 0.9783.
Des informations émanant des autorités nippones avaient pour leur part révélé que l'excédent du commerce extérieur national avait plongé en mai vers 280 milliards de JPY, son niveau le plus bas depuis 1985, contre 290 précédemment.
Une autre étude faisait quand à elle savoir que les commandes de machines de base avaient connu une dégringolade de 14.8% dans le même temps, la pire des sept dernières années, pulvérisant les 2.4% déjà redoutés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.1% pour monter à 1.0205, l'AUD/USD cédant 0.48% pour se retrouver à 1.0162 et le NZD/USD se laissant arracher 0.51% pour toucher le fond à 0.7938.
Des spécialistes avaient avoué en début de matinéée que le nombre des offres d'emploi publiées en Australie avait plongé de 1.2% en juin, prolongeant les 2.6% de mai.
Les devises fortement liées à la croissance avaient été mises à mal par des chiffres des autorités chinoises montrant en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande amplitude de mouvement pour assouplir sa politique monétaire.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.08% pour se situer à 83.54.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait pour sa part témoigner aujourd'hui à Bruxelles devant le parlement européen.