Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, sombrant dans des ornières de près de huit semaines par rapport à ses homologues européen et britannique, sur fond d'inquiétudes concernant un éventuel serrage des boulons de la part de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 97,30.
La valeur refuge traditionnelle de ce dernier avait en effet vu son blason redoré par les rumeurs de fermeture des vannes de la banque centrale des Etats-Unis dès septembre, nuisant à la bourse de Tokyo dans la soirée.
Les observateurs guettaient aussi pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, son président Ben Bernanke ayant déclaré qu'une telle hypothèse dependrait des résultats économiques.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,70% pour grimper à 1,3428, aux abords d'un sommet bimestriel.
La monnaie unique gardait dse partisans, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,23% pour se hisser à 1,5684, établissant au passage un pic de deux mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,77% pour tomber à 0,9170.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,44% pour reprendre pied à 0,9073, le NZD/USD dégringolant de 1,02% pour toucher le fond à 0,7985 et l'USD/CAD progressant de 0,43% pour aller vers 1,0389.
La première avait subi à l'aube les signes indiquant dans le procès-verbal de la prise de cap effectuée ce mois-ci par la Réserve Bancaire d'Australie que de nouvelles baisses des taux étaient envisageables.
La seconde s'est quand à elle retrouvée sur la sellette après que Graeme Wheeler, gouverneur de son homologue de Nouvelle-Zélande, ait estimé qu'elle était "surévaluée".
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,47% pour se situer à 80,91.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,27% pour se retrouver à 97,30.
La valeur refuge traditionnelle de ce dernier avait en effet vu son blason redoré par les rumeurs de fermeture des vannes de la banque centrale des Etats-Unis dès septembre, nuisant à la bourse de Tokyo dans la soirée.
Les observateurs guettaient aussi pour demain la publication du compte-rendu de la plus récente réunion de la Réserve Fédérale, en quête d'indices sur le moment où elle réduira la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, son président Ben Bernanke ayant déclaré qu'une telle hypothèse dependrait des résultats économiques.
Il en allait de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,70% pour grimper à 1,3428, aux abords d'un sommet bimestriel.
La monnaie unique gardait dse partisans, après qu'il ait été montré que la croissance du bloc l'ayant adoptée avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,23% pour se hisser à 1,5684, établissant au passage un pic de deux mois.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,77% pour tomber à 0,9170.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,44% pour reprendre pied à 0,9073, le NZD/USD dégringolant de 1,02% pour toucher le fond à 0,7985 et l'USD/CAD progressant de 0,43% pour aller vers 1,0389.
La première avait subi à l'aube les signes indiquant dans le procès-verbal de la prise de cap effectuée ce mois-ci par la Réserve Bancaire d'Australie que de nouvelles baisses des taux étaient envisageables.
La seconde s'est quand à elle retrouvée sur la sellette après que Graeme Wheeler, gouverneur de son homologue de Nouvelle-Zélande, ait estimé qu'elle était "surévaluée".
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,47% pour se situer à 80,91.