Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, subissant un regain de doute concernant le moment où son émettrice commencera à fermer les robinets, son homologue de Grande-Bretagne s'élevant vers un pic de deux mois grâce à la bonne surprise concernant les performances commerciales là où elle a cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,53% pour se hisser à 1,5581, établissant au passage son sommet le plus élevé depuis le 19 juin.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés, et un gonflement de 3% d'une année sur l'autre.
Il a précisé que le beau temps estival avait encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
Le billet vert gardait son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance américaine à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,08% pour se retrouver à 98,05.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
L'euro n'était pas en reste, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,3299.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le franc suisse a également exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,58% pour monter à 0,9174, le NZD/USD engrangeant 0,75% pour culminer à 0,8087 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0313.
La seconde avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,23% pour se situer à 81,58.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,53% pour se hisser à 1,5581, établissant au passage son sommet le plus élevé depuis le 19 juin.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés, et un gonflement de 3% d'une année sur l'autre.
Il a précisé que le beau temps estival avait encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
Le billet vert gardait son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance américaine à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,08% pour se retrouver à 98,05.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait déclaré à l'aube qu'une réduction des impôts des grandes entreprises n'aurait pas d'impact immédiat sur l'économie, profitant ainsi à la devise du pays.
L'euro n'était pas en reste, l'EUR/USD gagnant 0,32% pour grimper à 1,3299.
La monnaie unique gardait des partisans suite à l'expansion de 0,3% que l'économie l'ayant adoptée avait connue du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Le franc suisse a également exercé sa pression, l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9349.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,58% pour monter à 0,9174, le NZD/USD engrangeant 0,75% pour culminer à 0,8087 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0313.
La seconde avait repris du poil de la bête après que le groupe d'études Business New Zealand ait vu son indice de l'activité du secteur secondaire passer de 54,7 à 59,5 pour juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,23% pour se situer à 81,58.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.