Investing.com - Le dollar U.S. était en léger berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, le bon accueil réservé aux enchères espagnoles et italiennes ayant apaisé les doutes concernant la capacité des états en difficulté de la zone euro à lever les fonds dont ils ont besoin.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.37% pour grimper à 1.2754.
L'Espagne a en effet émis près du double des 5 milliards envisagés, avec 9.98 milliards d'euros en obligations à échéance en 2015 et 2016, incluant notamment un nouveau bon du trésor étalon.
Le taux de celui-ci, qui court jusqu'en juillet 2015, s'est situé à 3.38%, contre 5.18% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en décembre.
L'Italie a pour sa part écoulé 12 milliards d'euros de dettes à court terme, les dividendes de ses emprunts à cinq mois retombant de 3.25% en décembre à 1.6%, et celui de ceux qui courent sur une année sont passés de 5.95 à 2.73% dans le même temps.
La Banque Centrale Européenne a pour sa part laissé cet après-midi son taux de base à 1%, après l'avoir réduit lors de ses deux réunions précédentes.
Le billet vert a toutefois perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.5347.
La Banque d'Angleterre n'a pas non plus fait évoluer son taux d'intérêt directeur de son plus bas niveau historique à 0.5% auquel il est cantonné depuis mars 2009.
Elle n'a pas non plus surpris en laissant son plan d'achats de valeurs financé par l'émission de réserves à hauteur de 275 milliards de GBP.
Ces informations ont été communiquées après que des chiffres émanant des autorités du Royaume-Uni avaient montré ce matin que la production manufacturée du pays avait plongé en novembre de manière inattendue, imitée en cela par l'industrielle.
Le yen a d'autre part légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.01% pour se retrouver à 76.87 et l'USD/CHF glissant de 0.43% pour tomber à 0.95.
Eveline Widmer-Schlumpf, la ministre de finances de la Suisse, a quand à elle déclaré que le pays pourrait ne pas nommer de remplaçant permanent à Philipp Hildebrand au poste de président de la Banque Nationale Suisse avant plusieurs mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.35% pour aller vers 1.0157, l'AUD/USD récoltant 0.5% pour s'élever à 1.0362 et le NZD/USD arrachant 0.03% pour culminer à 0.7972.
Une étude émanant des autorités avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation chinois s'était limitée à 4.1% en décembre, son plus bas niveau en 15 mois, contre 4.2% lors du précédent, renforçant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de Pékin destiné à relancer la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29% pour se situer à 81.35.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi leurs rapports sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.37% pour grimper à 1.2754.
L'Espagne a en effet émis près du double des 5 milliards envisagés, avec 9.98 milliards d'euros en obligations à échéance en 2015 et 2016, incluant notamment un nouveau bon du trésor étalon.
Le taux de celui-ci, qui court jusqu'en juillet 2015, s'est situé à 3.38%, contre 5.18% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en décembre.
L'Italie a pour sa part écoulé 12 milliards d'euros de dettes à court terme, les dividendes de ses emprunts à cinq mois retombant de 3.25% en décembre à 1.6%, et celui de ceux qui courent sur une année sont passés de 5.95 à 2.73% dans le même temps.
La Banque Centrale Européenne a pour sa part laissé cet après-midi son taux de base à 1%, après l'avoir réduit lors de ses deux réunions précédentes.
Le billet vert a toutefois perdu du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.5347.
La Banque d'Angleterre n'a pas non plus fait évoluer son taux d'intérêt directeur de son plus bas niveau historique à 0.5% auquel il est cantonné depuis mars 2009.
Elle n'a pas non plus surpris en laissant son plan d'achats de valeurs financé par l'émission de réserves à hauteur de 275 milliards de GBP.
Ces informations ont été communiquées après que des chiffres émanant des autorités du Royaume-Uni avaient montré ce matin que la production manufacturée du pays avait plongé en novembre de manière inattendue, imitée en cela par l'industrielle.
Le yen a d'autre part légèrement subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.01% pour se retrouver à 76.87 et l'USD/CHF glissant de 0.43% pour tomber à 0.95.
Eveline Widmer-Schlumpf, la ministre de finances de la Suisse, a quand à elle déclaré que le pays pourrait ne pas nommer de remplaçant permanent à Philipp Hildebrand au poste de président de la Banque Nationale Suisse avant plusieurs mois.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.35% pour aller vers 1.0157, l'AUD/USD récoltant 0.5% pour s'élever à 1.0362 et le NZD/USD arrachant 0.03% pour culminer à 0.7972.
Une étude émanant des autorités avait auparavant indiqué que l'inflation des prix à la consommation chinois s'était limitée à 4.1% en décembre, son plus bas niveau en 15 mois, contre 4.2% lors du précédent, renforçant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de Pékin destiné à relancer la croissance.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29% pour se situer à 81.35.
Les autorités des Etats-Unis dévoileront dans l'après-midi leurs rapports sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.