Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que la prudence restait de mise à l'approche cette semaine d'une série de prises de cap de la part des banques centrales, bien que l'espoir de nouveaux accomodements de leur part aide à éclaircir l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.51% pour tomber à 1.2258.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs la semaine passée, après que Mario Draghi ait déclaré que la BCE protègerait le bloc euro de l'effondrement par tous les moyens nécessaires, alimentant l'espoir qu'elle ferait en sorte de rabaisser les coûts des emprunts de ses membres surendettés, notamment l'Espagne et l'Italie.
La chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande se sont engagés à faire de même dans un communiqué commun diffusé le lendemain, précisant être "profondément engagés dans la défense de l'intégrité du bloc euro".
Mais la prudence demeurait cependant à l'ordre du jour après que Philipp Roesler, ministre de l'économie de l'Allemagne, ait exhorté la BCE à la prudence avant de s'engager dans un programme d'achat à grande échelle de bons du trésor.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait comme redouté laissé échapper 0.4% au second trimestre, après avoir déjà diminué de 0.3% lors du précédent.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.5679.
La Banque d'Angleterre a pour sa part fait savoir que les prêts nets aux particuliers avaient plongé depui 1.1 milliards vers 300 millions de GBP pour juin, alors que les experts craignaient déjà de les voir s'établir à 800 millions.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait cependant sur la sellette, après qu'il ait été souligné la semaine passée que l'économie britannique avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY reculant de 0.39% pour se retrouver à 78.16, mais pas le franc suisse l'USD/CHF grignotant 0.46% pour culminer à 0.9797.
Des résultats préliminaires de début de matinée avaient souligné pour juin une chute inattendue de la production industrielle nationale, bien que celle-ci n'ait trébuché que de 0.1% au lieu des 3.4% précédents.
Les experts espéraient en effet qu'elle augmenterait de 1.6% pour la période considérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.17% pour monter à 1.0048, l'AUD/USD cédant 0.19% pour se retrouver à 1.0463 et le NZD/USD se laissant arracher 0.16% pour toucher le fond à 0.808.
Des informations émanant dse autorités de Nouvelle-Zélande soulignaient en début de matinée que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés avait augmenté de 5.7% en juin, après avoir dégringolé de 7.2% le mois précédent.
Des spécialistes de l'immobilier australien ont quand à eux constaté que les ventes nationales de logements neufs avaient grimpé de 2.8% dans le même temps, prolongeant ainsi les 0.7% de mai.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.29% pour se situer à 82.92.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles ses décideurs pourraient donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.51% pour tomber à 1.2258.
La monnaie unique avait retrouvé des couleurs la semaine passée, après que Mario Draghi ait déclaré que la BCE protègerait le bloc euro de l'effondrement par tous les moyens nécessaires, alimentant l'espoir qu'elle ferait en sorte de rabaisser les coûts des emprunts de ses membres surendettés, notamment l'Espagne et l'Italie.
La chancelière allemande Angela Merkel et le président français François Hollande se sont engagés à faire de même dans un communiqué commun diffusé le lendemain, précisant être "profondément engagés dans la défense de l'intégrité du bloc euro".
Mais la prudence demeurait cependant à l'ordre du jour après que Philipp Roesler, ministre de l'économie de l'Allemagne, ait exhorté la BCE à la prudence avant de s'engager dans un programme d'achat à grande échelle de bons du trésor.
Des évaluations préliminaires avaient quand à elles signalé ce matin que le produit intérieur brut espagnol avait comme redouté laissé échapper 0.4% au second trimestre, après avoir déjà diminué de 0.3% lors du précédent.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.5679.
La Banque d'Angleterre a pour sa part fait savoir que les prêts nets aux particuliers avaient plongé depui 1.1 milliards vers 300 millions de GBP pour juin, alors que les experts craignaient déjà de les voir s'établir à 800 millions.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait cependant sur la sellette, après qu'il ait été souligné la semaine passée que l'économie britannique avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY reculant de 0.39% pour se retrouver à 78.16, mais pas le franc suisse l'USD/CHF grignotant 0.46% pour culminer à 0.9797.
Des résultats préliminaires de début de matinée avaient souligné pour juin une chute inattendue de la production industrielle nationale, bien que celle-ci n'ait trébuché que de 0.1% au lieu des 3.4% précédents.
Les experts espéraient en effet qu'elle augmenterait de 1.6% pour la période considérée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.17% pour monter à 1.0048, l'AUD/USD cédant 0.19% pour se retrouver à 1.0463 et le NZD/USD se laissant arracher 0.16% pour toucher le fond à 0.808.
Des informations émanant dse autorités de Nouvelle-Zélande soulignaient en début de matinée que le nombre des permis de construire qu'elles avaient accordés avait augmenté de 5.7% en juin, après avoir dégringolé de 7.2% le mois précédent.
Des spécialistes de l'immobilier australien ont quand à eux constaté que les ventes nationales de logements neufs avaient grimpé de 2.8% dans le même temps, prolongeant ainsi les 0.7% de mai.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.29% pour se situer à 82.92.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de mercredi sont elles aussi très attendues, sur fond de rumeurs selon lesquelles ses décideurs pourraient donnner des signes indiquant une série d'injections de liquidités supplémentaires.
Timothy Geithner, sécrétaire d'état au trésor des Etats-Unis, comptait de son côté rencontrer aujourd'hui Wolfgang Schäuble, ministre des finances allemand, ainsi que Mario Draghi afin d'évoquer l'économie mondiale.