Investing.com - La livre sterling s'est élevée vers un pic de deux mois face au dollar U.S. ce jeudi, grâce à la bonne surprise concernant les performances commerciales là où elle a cours, alimentant l'optimisme concernant les perspectives économiques.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5588 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 19 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5577, prenant 0,49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5494, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5600, son prochain plafond psychologique.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés après les 0,2% précédents.
Elles ont aussi gonflé de 3% d'une année sur l'autrte, au lieu des 2,5% envisagés, améliorant encore les 1,9% de juin.
Celles de base, excluant les automobiles, ont aussi augmenté de 1,1% au cours du mois dernier, dépassant là aussi les 0,6% pressentis dans le sillage des 0,3% ayant précédé.
Il a précisé que le beau temps estival avait encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
Le billet vert gardait son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance américaine à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,20% pour glisser à 0,8533, aux abords d'une ornière mensuelle.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5588 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 19 juin, puis s'est stabilisée vers 1,5577, prenant 0,49%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5494, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5600, son prochain plafond psychologique.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté un bond de 1,1% des ventes au détail pour juillet, soit près du double des 0,6% espérés après les 0,2% précédents.
Elles ont aussi gonflé de 3% d'une année sur l'autrte, au lieu des 2,5% envisagés, améliorant encore les 1,9% de juin.
Celles de base, excluant les automobiles, ont aussi augmenté de 1,1% au cours du mois dernier, dépassant là aussi les 0,6% pressentis dans le sillage des 0,3% ayant précédé.
Il a précisé que le beau temps estival avait encouragé la consommation de nourriture, d'alcool, de vêtements et d'articles de plein air.
Le billet vert gardait son blason terni par le doute sur la capacité des reins de la relance américaine à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,20% pour glisser à 0,8533, aux abords d'une ornière mensuelle.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.