Investing.com - La livre sterling s'est hissée vers des sommets journaliers face au dollar U.S. ce mercredi, dans le sillage de bonnes nouvelles là où elle a cours.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5506 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5477, prenant 0,18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5421, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5557, son plafond du 8 août.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Ils ont par contre voté comme un seul homme le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,15% pour se hisser à 0,8571.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5506 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5477, prenant 0,18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5421, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5557, son plafond du 8 août.
Le bureau britannique des statistiques a en effet constaté que le taux de chômage s'était stabilisé à 7,8% comme prévu pour juin, mais dénombré 29.200 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins pour ce mois-ci, au lieu des 15.000 espérées.
Le compte-rendu de la plus récente prise de cap de la Banque d'Angleterre a toutefois indiqué que se décision de fournir des indications sur les évolutions futures des taux d'intérêt n'avait pas été unanime.
Elle avait annoncé la semaine passée son intention de maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Mais elle a précisé que trois conditions pourraient cependant aller à l'encontre de cet engagement, et notamment si l'inflation à moyen terme devait dépasser 2,5% sur 18 à 24 mois.
Martin Weale est le seul membre de son conseil à avoir été favorable à une période plus resserrée, tout en acceptant le principe général de la divulgation des intentions.
Ils ont par contre voté comme un seul homme le maintien de son taux de base à 0,5%, son niveau le plus bas de l'histoire, et du volume de ses rachats d'actifs à 375 milliards de GBP.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,15% pour se hisser à 0,8571.
Les premières évaluations dévoilées en début de journée avaient montré que l'économie française s'était renforcée de 0,5% entre début avril et fin juin, après deux trimestres de rétraction, au lieu des 0,2% espérés.
Il était aussi à noter que celle de l'Allemagne allait dans le même sens avec 0,7%, après les 0,1% des trois premiers mois de l'année, dépassant ainsi légèrement les 0,6% anticipés.
Bruxelles s'apprêtait à faire de même sous peu concernant l'ensemble du bloc ayant adopté la monnaie unique, avec l'espoir d'un retour, même modeste, en zone positive.