Investing.com - L'euro a progressé laboriusement face au dollar U.S. et au yen ce jeudi, après que les enchères dde dettes françaises et espagnoles aient satisfait une demande solide, mais que les incertitudes concernant les débats sur la dette grecque et les remarques de l'agence Fitch aient freiné son ascension.
En fin de première séance européenne, le billet vert fléchissait en effet devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour monter à 1.2897.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8303, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8376, son plafond du 13 janvier.
L'Espagne a en effet finalement écoulé 6.6 milliards d'euros en bons du trésor, dépassant largement les 4.5 milliards prévus.
Ceux à quatre ans se sont situés à un taux de 4%, soit légèrement plus que les 3.9% des dernières enchères, tandis que ceux à neuf et dix ans bénéficiaient d'un recul, passant ainsi de 5.1 à 4.5% et de 6.98 à 5.4%.
Les dividendes des obligations décennales espagnoles ont toutefois grimpé après ces bons résultats, passant de 5.18 à 5.28%.
La France a pour sa part proposé 8 milliards d'euros en bons du trésor à moyen et long terme, après avoir perdu la semaine dernière son triple A auprès de l'agence de notation Standard & Poor's.
Fitch a pour sa part révélé s'attendre à ce que les révisions de ses notations de six des membres de la zone euro, qui devraient être achevées fin janvier, entraînent des dégradations d'un à deux crans dans la plupart des cas.
Les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays ont pour leur part repris hier, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer des derniers lors de l'échange de leurs titres.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterling et la valeur sûre du yen, l'EUR/GBP prenant 0.19% pour se hisser à 0.8348 et l'EUR/JPY grignotant 0.1% pour grimper à 98.93.
Elle a toutefois dû subir la pression du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.06% pour glisser à 1.2077.
Elle s'est par contre éloignée de ses planchers historiques récemment établis par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUS s'élevant de 0.47% vers 1.2383 et l'EUR/NZD engrangeant 0.53% pour se situer à 1.6081.
Une étude officielle signalait ce matin que l'Australie avait perdu 29 300 salariés en décembre, prenant à revers les experts espérant 10 000 créations d'emplois, tandis que le taux de chômage demeurait stable à 5.2%.
Une autre indiquait pour sa part que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait ralenti de manière surprenante au quatrième trimestre.
Le dollar canadien lui a toutefois opposé une bonne résistance, l'EUR/CAD arrachant 0.02% pour se hisser à 1.3009.
Les autorités des Etats-Unis divulgueront quand à elles cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, mais aussi un rapport à propos de l'inflation des prix à la consommation, et un second concernant le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement, sans oublier l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
En fin de première séance européenne, le billet vert fléchissait en effet devant lui, l'EUR/USD gagnant 0.24% pour monter à 1.2897.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8303, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8376, son plafond du 13 janvier.
L'Espagne a en effet finalement écoulé 6.6 milliards d'euros en bons du trésor, dépassant largement les 4.5 milliards prévus.
Ceux à quatre ans se sont situés à un taux de 4%, soit légèrement plus que les 3.9% des dernières enchères, tandis que ceux à neuf et dix ans bénéficiaient d'un recul, passant ainsi de 5.1 à 4.5% et de 6.98 à 5.4%.
Les dividendes des obligations décennales espagnoles ont toutefois grimpé après ces bons résultats, passant de 5.18 à 5.28%.
La France a pour sa part proposé 8 milliards d'euros en bons du trésor à moyen et long terme, après avoir perdu la semaine dernière son triple A auprès de l'agence de notation Standard & Poor's.
Fitch a pour sa part révélé s'attendre à ce que les révisions de ses notations de six des membres de la zone euro, qui devraient être achevées fin janvier, entraînent des dégradations d'un à deux crans dans la plupart des cas.
Les négociations entre Lucas Papademos, premier ministre grec, et les créanciers privés du pays ont pour leur part repris hier, après avoir été interrompues la semaine dernière en raison de désaccords sur l'importance des pertes que devront essuyer des derniers lors de l'échange de leurs titres.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterling et la valeur sûre du yen, l'EUR/GBP prenant 0.19% pour se hisser à 0.8348 et l'EUR/JPY grignotant 0.1% pour grimper à 98.93.
Elle a toutefois dû subir la pression du franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.06% pour glisser à 1.2077.
Elle s'est par contre éloignée de ses planchers historiques récemment établis par rapport à ses homologues australienne et néo-zélandaise, l'EUR/AUS s'élevant de 0.47% vers 1.2383 et l'EUR/NZD engrangeant 0.53% pour se situer à 1.6081.
Une étude officielle signalait ce matin que l'Australie avait perdu 29 300 salariés en décembre, prenant à revers les experts espérant 10 000 créations d'emplois, tandis que le taux de chômage demeurait stable à 5.2%.
Une autre indiquait pour sa part que l'inflation des prix à la consommation de la Nouvelle-Zélande avait ralenti de manière surprenante au quatrième trimestre.
Le dollar canadien lui a toutefois opposé une bonne résistance, l'EUR/CAD arrachant 0.02% pour se hisser à 1.3009.
Les autorités des Etats-Unis divulgueront quand à elles cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers, mais aussi un rapport à propos de l'inflation des prix à la consommation, et un second concernant le volume des nouveaux inscrits au chômage mesuré par le gouvernement, sans oublier l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.