Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, stimulé par le large affaiblissement du dollar U.S. suite au communiqué publié hier par la Réserve Fédérale laissant peu de place à l'idée d'une hausse des taux, tandis que les investisseurs guettaient les résultats des négociations visant à des échanges de dettes grecques.
En fin de première partie de séance européenne, il se hissait aux abords d'un pic des cinq dernières semaines face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.28% pour monter à 1.3143.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
La banque centrale des Etats-Unis s'était auparavant engagée à garder des taux d'intérêt presque nuls jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable", laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi son émission de 5 milliards d'euros de dettes gouvernementales, comblant une forte demande émanant des acteurs des marchés, et à des taux en nette baisse.
Les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce surendettée et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, avait pour sa part déclaré hier que la Banque Centrale Européenne et les autres détenteurs institutionnels d'obligations grecques pourraient aussi devoir accepter d'aider à alléger le fardeau pesant sur Athènes.
La livre sterling lui a mieux résisté, de même que la valeur refuge qu'est le yen, l'EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.838 et l'EUR/JPY frémissant de 0.01% pour grimper à 101.93.
Le franc suisse l'a à peine faite fléchir, l'EUR/CHF trébuchant de 0.07% pour glisser à 1.2069.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise continuaient à la mettre à mal aux alentours de planchers historiques, l'EUR/AUD laissant échapper 0.32% pour plonger 1.2328 et l'EUR/NZD fondant de 0.26% pour se retrouver à 1.6002.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait de son côté annoncé en début de matinée que son taux d'intérêt directeur demeurerait comme prévu à 2.5%, et Alan Bollard, son gouverneur, estimant qu'il était prudent de les stabiliser face aux incertitudes pesant sur les perspectives économiques mondiales.
Ses pertes par rapport au dollar canadien demeuraient toutefois limitées, l'EUR/CAD fléchissant de 0.04% pour reprendre pied à 1.3158.
Les Etats-Unis fourniront pour sa part dans l'après-midi leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.
En fin de première partie de séance européenne, il se hissait aux abords d'un pic des cinq dernières semaines face au dollar U.S. avec un couple EUR/USD prenant 0.28% pour monter à 1.3143.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monétaire s'étant achevés mercredi, le comité fédéral des marchés ouverts a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014".
La banque centrale des Etats-Unis s'était auparavant engagée à garder des taux d'intérêt presque nuls jusqu'à mi-2013 au moins.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", et même précisé que l'achat d'obligations était "une option certainement envisageable", laissant entendre qu'une troisième série d'assouplissements quantitatifs n'était pas à exclure.
La monnaie unique a retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi son émission de 5 milliards d'euros de dettes gouvernementales, comblant une forte demande émanant des acteurs des marchés, et à des taux en nette baisse.
Les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce surendettée et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, avait pour sa part déclaré hier que la Banque Centrale Européenne et les autres détenteurs institutionnels d'obligations grecques pourraient aussi devoir accepter d'aider à alléger le fardeau pesant sur Athènes.
La livre sterling lui a mieux résisté, de même que la valeur refuge qu'est le yen, l'EUR/GBP grignotant 0.09% pour se hisser à 0.838 et l'EUR/JPY frémissant de 0.01% pour grimper à 101.93.
Le franc suisse l'a à peine faite fléchir, l'EUR/CHF trébuchant de 0.07% pour glisser à 1.2069.
Ses homologues australienne et néo-zélandaise continuaient à la mettre à mal aux alentours de planchers historiques, l'EUR/AUD laissant échapper 0.32% pour plonger 1.2328 et l'EUR/NZD fondant de 0.26% pour se retrouver à 1.6002.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait de son côté annoncé en début de matinée que son taux d'intérêt directeur demeurerait comme prévu à 2.5%, et Alan Bollard, son gouverneur, estimant qu'il était prudent de les stabiliser face aux incertitudes pesant sur les perspectives économiques mondiales.
Ses pertes par rapport au dollar canadien demeuraient toutefois limitées, l'EUR/CAD fléchissant de 0.04% pour reprendre pied à 1.3158.
Les Etats-Unis fourniront pour sa part dans l'après-midi leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.