Investing.com - L'euro était en forme face au dollar U.S. et au yen ce mardi, sa popularité ayant été encouragée par l'espoir d'un accord de restructuration de la dette grecque.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le billet vert, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour se hisser à 1.3191.
Cette progression est survenue après que Lucas Papademos, le premier ministre grec, ait déclaré hier que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
Les dirigeants de l'UE ont quand à eux trouvé un terrain d'entente à propos du pacte d'union fiscale et approuvé les dernières mises au point du fonds de sauvetage permanent de la zone euro, fort de 500 milliards d'euros, qui devrait entrer en service en juillet.
Des résultats officiels avaient montré ce matin que le nombre des personnes sans emploi en Allemagne avait davantage diminué en janvier qu'il n'avait été espéré, tandis que le taux de chômage plongeait vers un plancher historique, apaisant les inquiétudes conceernant les perspectives de la première économie européenne.
Les investisseurs demeuraient toutefois soucieux du fardeau de la dette du Portugal, les taux de ses bons décennaux ayant auparavant culminé à 17%, sur fond de renouveau du spectre d'un recours à un second plan de sauvetage international.
La monnaie unique a également exercé sa pression sur le yen, l'EUR/JPY prenant 0.43% pour grimper à 100.78.
L'étalon américain avait plongé en début de matinée à son niveau le plus bas depuis l'intervention du Japon sur le marché des changes en octobre, poussant Jun Azumi, son ministre des finances, à rappeler que des "mesures décisives" seraient prises en cas de spéculations faisant s'envoler la devise nationale.
La livre sterling et le franc suisse ont toutefois fait mieux que résister, l'EUR/GBP trébuchant de 0.06% pour se replier à 0.836 et l'EUR/CHF se faisant saper 0.03% pour hoqueter à 1.2047.
La devise de la Grande-Bretagne n'avait guère été perturbée par le rapport émanant des autorités britanniques signalant ce matin que les prêts nets aux individus avaient été décevants en décembre, n'augmentant que de 400 millions de GBP, soit nettement moins que les 1.2 milliards espérés.
Une autre étude montrait de son côté que la confiance des consommateurs du Royaume-Uni s'était élevée en janvier vers son plus haut niveau en sept mois.
Les planchers historiques par rapport aux dollars australien et néo-zélandais demeuraient proches, l'EUR/AUD glissant de 0.23% pour descendre à 1.2372 et l'EUR/NZD s'effondrant de 0.7% vers 1.5929.
Il avait été signalé à l'aube que la confiance dans les affaires de l'Australie s'était légèrement améliorée en décmbre, laissant à penser que les deux baisses de taux successives de la Réserve Bancaire d'Australie avaient redonné des couleurs au baromètre économique.
Leur cousin canadien n'a pas aussi bien fait, l'EUR/CAD n'arrachant que 0.01% pour culminer à 1.3159.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux dans l'après-midi l'inflation immobilière constatée par leurs acteurs du secteur, une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que l'état de la confiance des consommateurs.
En fin de première partie de séance européenne, il a fait fléchir le billet vert, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour se hisser à 1.3191.
Cette progression est survenue après que Lucas Papademos, le premier ministre grec, ait déclaré hier que des "progrès significatifs" avaient été réalisés durant les pourparlers portant sur les échanges de dettes avec les créanciers privés du pays, ravivant l'espoir qu'un accord soit bouclé avant la fin de semaine.
Les dirigeants de l'UE ont quand à eux trouvé un terrain d'entente à propos du pacte d'union fiscale et approuvé les dernières mises au point du fonds de sauvetage permanent de la zone euro, fort de 500 milliards d'euros, qui devrait entrer en service en juillet.
Des résultats officiels avaient montré ce matin que le nombre des personnes sans emploi en Allemagne avait davantage diminué en janvier qu'il n'avait été espéré, tandis que le taux de chômage plongeait vers un plancher historique, apaisant les inquiétudes conceernant les perspectives de la première économie européenne.
Les investisseurs demeuraient toutefois soucieux du fardeau de la dette du Portugal, les taux de ses bons décennaux ayant auparavant culminé à 17%, sur fond de renouveau du spectre d'un recours à un second plan de sauvetage international.
La monnaie unique a également exercé sa pression sur le yen, l'EUR/JPY prenant 0.43% pour grimper à 100.78.
L'étalon américain avait plongé en début de matinée à son niveau le plus bas depuis l'intervention du Japon sur le marché des changes en octobre, poussant Jun Azumi, son ministre des finances, à rappeler que des "mesures décisives" seraient prises en cas de spéculations faisant s'envoler la devise nationale.
La livre sterling et le franc suisse ont toutefois fait mieux que résister, l'EUR/GBP trébuchant de 0.06% pour se replier à 0.836 et l'EUR/CHF se faisant saper 0.03% pour hoqueter à 1.2047.
La devise de la Grande-Bretagne n'avait guère été perturbée par le rapport émanant des autorités britanniques signalant ce matin que les prêts nets aux individus avaient été décevants en décembre, n'augmentant que de 400 millions de GBP, soit nettement moins que les 1.2 milliards espérés.
Une autre étude montrait de son côté que la confiance des consommateurs du Royaume-Uni s'était élevée en janvier vers son plus haut niveau en sept mois.
Les planchers historiques par rapport aux dollars australien et néo-zélandais demeuraient proches, l'EUR/AUD glissant de 0.23% pour descendre à 1.2372 et l'EUR/NZD s'effondrant de 0.7% vers 1.5929.
Il avait été signalé à l'aube que la confiance dans les affaires de l'Australie s'était légèrement améliorée en décmbre, laissant à penser que les deux baisses de taux successives de la Réserve Bancaire d'Australie avaient redonné des couleurs au baromètre économique.
Leur cousin canadien n'a pas aussi bien fait, l'EUR/CAD n'arrachant que 0.01% pour culminer à 1.3159.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux dans l'après-midi l'inflation immobilière constatée par leurs acteurs du secteur, une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que l'état de la confiance des consommateurs.