Investing.com - L'euro a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce jeudi matin, profitant de chiffres de la croissance supérieurs aux espérances au sein du bloc l'ayant adopté, tandis que son adversaire subissait un regain de doute concernant le moment où son émettrice commencera à fermer les robinets.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3310 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1,3291, prenant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3238, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3342, son plafond du 12 août.
Le billet vert a en effet vu son blason terni par la révélation selon laquelle les coûts de production aux Etats-Unis avaient été stables le mois passé, et que l'indice des prix à la production de base avait moins augmenté que prévu.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique gardait des partisans grâce à la bonne nouvelle de la sortie de récession de la région où elle a cours au second trimestre, après 18 mois de vaches maigres.
Son économie a ainsi connu une expansion de 0,3% du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performances depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
La France avait notamment réalisé une croissance de 0,5% sur cette période, après deux trimestres de rétraction, et l'Allemagne offrait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
La devise européenne a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,08% pour se hisser à 0,8556, mais a cédé sous la pression du yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,16% pour glisser à 129,86.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître en conclusion de la journée une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3310 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1,3291, prenant 0,27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3238, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,3342, son plafond du 12 août.
Le billet vert a en effet vu son blason terni par la révélation selon laquelle les coûts de production aux Etats-Unis avaient été stables le mois passé, et que l'indice des prix à la production de base avait moins augmenté que prévu.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à encaisser une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La monnaie unique gardait des partisans grâce à la bonne nouvelle de la sortie de récession de la région où elle a cours au second trimestre, après 18 mois de vaches maigres.
Son économie a ainsi connu une expansion de 0,3% du début avril à la fin juin, constituant ainsi sa meilleure performances depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
La France avait notamment réalisé une croissance de 0,5% sur cette période, après deux trimestres de rétraction, et l'Allemagne offrait elle aussi une bonne surprise avec 0,7%.
La devise européenne a par ailleurs fait mieux que résister à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,08% pour se hisser à 0,8556, mais a cédé sous la pression du yen, l'EUR/JPY trébuchant de 0,16% pour glisser à 129,86.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître en conclusion de la journée une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.