Investing.com - Le dollar U.S. n'a guère pris l'avantage sur son cousin canadien ce mardi après-midi, profitant tout de même des signes d'accélération de la reprise économique des Etats-Unis, à la veille de la publication de l'évolution des ventes du pays.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 1.0284 en début de séance américaine, son cours journalier le plus élevé, puis s'est stabilisée vers 1.0264, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.0233, son plancher du 8 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.0313, son plafond du même jour.
Le billet vert avait en effet repris des couleurs après que des embauches américaines supérieures aux espérances aient été mises en relief vendredi, permettant au taux de chômage de reculer à 7.7%, son niveau le plus bas en quatre ans.
L'attention se reportait désormais sur le volume des ventes au détail nationales qui devrait être révélé demain, afin de déterminer si l'embellie sera durable.
La devise canadienne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CAD prenant 0.19% pour se hisser à 1.3407.
Les transactions semblaient toutefois devoir demeurer rares aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs de la part de l'Amérique du Nord.
La paire USD/CAD est montée jusqu'à 1.0284 en début de séance américaine, son cours journalier le plus élevé, puis s'est stabilisée vers 1.0264, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.0233, son plancher du 8 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.0313, son plafond du même jour.
Le billet vert avait en effet repris des couleurs après que des embauches américaines supérieures aux espérances aient été mises en relief vendredi, permettant au taux de chômage de reculer à 7.7%, son niveau le plus bas en quatre ans.
L'attention se reportait désormais sur le volume des ventes au détail nationales qui devrait être révélé demain, afin de déterminer si l'embellie sera durable.
La devise canadienne a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CAD prenant 0.19% pour se hisser à 1.3407.
Les transactions semblaient toutefois devoir demeurer rares aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs de la part de l'Amérique du Nord.