Investing.com - Le dollar U.S. n'a guère pris le dessus face au franc suisse ce mercredi, à la suite d'une émission très attendue de dettes italiennes, mais bénéficiait toujours du coup de pouce des belles performances américaines de la semaine passée.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.943 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9468, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9418, son plancher du 8 mars, et de rencontrer de la résistance à 0.9526, son plafond du 11 mars.
La nervosité était en effet exacerbée après que l'Italie ait vu les taux appliqués à ses emprunts à trois ans grimper à leur plus haut niveau depuis décembre au cours de leurs premières mises aux enchères depuis la dégradation la semaine passée d'un cran de la notation attribuée par l'agence Fitch suite à des élections sans résultats tranchés.
Le billet vert gardait pour sa part le sourire, grâce à l'espoir d'une amplification de la reprise économique américaine dans le sillage des bons chiffres de l'emploi aux Etats-Unis dévoilés vendredi.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.14% pour glisser à 1.2327.
La monnaie unique avait subi une fragilisation supplémentaire après qu'une étude émanant des autorités ait montré que la production de la région l'ayant adoptée avait commis un faux pas de 0.4% en janvier, faisant ainsi pire que les 0.1% redoutés, après avoir pourtant enflé de 0.9% le mois prédédent.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des ventes auprès des particuliers, ainsi que les variations des prix à l'importation, l'état de stocks des entreprises et celui des réserves pétrolières nationales.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.943 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9468, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9418, son plancher du 8 mars, et de rencontrer de la résistance à 0.9526, son plafond du 11 mars.
La nervosité était en effet exacerbée après que l'Italie ait vu les taux appliqués à ses emprunts à trois ans grimper à leur plus haut niveau depuis décembre au cours de leurs premières mises aux enchères depuis la dégradation la semaine passée d'un cran de la notation attribuée par l'agence Fitch suite à des élections sans résultats tranchés.
Le billet vert gardait pour sa part le sourire, grâce à l'espoir d'une amplification de la reprise économique américaine dans le sillage des bons chiffres de l'emploi aux Etats-Unis dévoilés vendredi.
La devise helvète a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.14% pour glisser à 1.2327.
La monnaie unique avait subi une fragilisation supplémentaire après qu'une étude émanant des autorités ait montré que la production de la région l'ayant adoptée avait commis un faux pas de 0.4% en janvier, faisant ainsi pire que les 0.1% redoutés, après avoir pourtant enflé de 0.9% le mois prédédent.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des ventes auprès des particuliers, ainsi que les variations des prix à l'importation, l'état de stocks des entreprises et celui des réserves pétrolières nationales.