Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face au franc suisse ce jeudi, les incertitudes entourant l'accord de remplacement d'obligations entre la Grèce et ses créanciers faisant oublier le succès des adjudications française et espagnole.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.918 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9185, prenant 0.34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9114, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.9248, son plafond d'hier.
Les représentants européens ont eu beau laisser entendre en début de semaine que les négociations entre la Grèce et ses créancieres privés visant à restructurer le fardeau grec approchaient d'une conclusion, le second plan de sauvetage et toute action de la part des institution devaient également faire l'objet d'un consensus avant qu'un accord puisse être annoncé.
L'Espagne a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, à des taux bien inférieurs aux précédents.
Elle a ainsi écoulé pour 2.52 milliards d'euros en bons à trois ans à 2.8%, contre 3.38 en janvier, et 1.05 milliards d'emprunts quinquennaux à 3.5% au lieu des 5.5% du mois dernier.
La France a fait de même avec 8 milliards d'euros de dettes gouvernementales, rencontrant une forte demande avec des dividendes diminués.
Le moral avait brièvement repris des couleurs après que Wen Jiabao, premier ministre de la Chine, ait déclaré que le pays envisageait une participation plus importante dans le Fonds de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage à la région, et son successeur, le Mécanisme de Stabilisation Européen.
La devise helvète restait toutefois proche d'un pic des cinq derniers mois contre la monnaie unique, l'EUR/CHF grignotant 0.1% pour se hisser à 1.2058.
La récente poussée de fièvre de la première par rapport à la seconde a ravivé les bruits selon lesquels la Banque Nationale Suisse pourrait à nouveau intervenir sur le marché des changes.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui cet après-midi devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0.918 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0.9185, prenant 0.34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9114, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 0.9248, son plafond d'hier.
Les représentants européens ont eu beau laisser entendre en début de semaine que les négociations entre la Grèce et ses créancieres privés visant à restructurer le fardeau grec approchaient d'une conclusion, le second plan de sauvetage et toute action de la part des institution devaient également faire l'objet d'un consensus avant qu'un accord puisse être annoncé.
L'Espagne a quand à elle émis pour 4.5 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, à des taux bien inférieurs aux précédents.
Elle a ainsi écoulé pour 2.52 milliards d'euros en bons à trois ans à 2.8%, contre 3.38 en janvier, et 1.05 milliards d'emprunts quinquennaux à 3.5% au lieu des 5.5% du mois dernier.
La France a fait de même avec 8 milliards d'euros de dettes gouvernementales, rencontrant une forte demande avec des dividendes diminués.
Le moral avait brièvement repris des couleurs après que Wen Jiabao, premier ministre de la Chine, ait déclaré que le pays envisageait une participation plus importante dans le Fonds de Stabilisation Financière Européen, servant de bouée de sauvetage à la région, et son successeur, le Mécanisme de Stabilisation Européen.
La devise helvète restait toutefois proche d'un pic des cinq derniers mois contre la monnaie unique, l'EUR/CHF grignotant 0.1% pour se hisser à 1.2058.
La récente poussée de fièvre de la première par rapport à la seconde a ravivé les bruits selon lesquels la Banque Nationale Suisse pourrait à nouveau intervenir sur le marché des changes.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera quand à lui cet après-midi devant le comité budgétaire de la chambre des représentants, et le gouvernement du pays annoncera le nombre des nouvelles inscriptions au chômage.