Investing.com - Le dollar U.S. a limité ses pertes face au franc suisse ce madi, s'extirpant d'une ornière des six semaines passées, la confiance des investisseurs ayant été malmenée par des résultats industriels peu reluisants de la part de la zone euro et les incertitudes concernant la restructuration de la dette grecque.
La paire USD/CHF est remontée depuis 0.9236, son cours le plus bas depuis le 8 décembre, jusqu'à 0.9276 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9197, son plancher du 6 décembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9329, son plafond du 25 novembre.
Des résultats officiels avaient auparavant indiqué que les nouvealles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
La devise européenne avait auparavant été encouragée par une étude préliminaire montrant que l'activité manufacturière régionale avait réalisé pour janvier sa croissance la plus rapide depuis août, apaisant l'angoisse des conséquences du problème du surendettement sur son économie.
Les acteurs des marchés avaient toutefois été rendus nerveux par les ministres des finances de la zone euro, demandant aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leur exigence d'un taux de 4% appliqué aux nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
La devise helvétique a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain à la monnaie unique, l'EUR/CHF cédant 0.07% pour glisser à 1.2062.
Jean-Pierre Danthine, membre du conseil directeur de la Banque Nationale Suisse, devrait prendre la parole dans l'après-midi.
Les ministres des finances de l'Union Européenne avaient quand à eux prévu de tenir à Bruxelles de nouveaux pourparlers tout au long de la journée.
La paire USD/CHF est remontée depuis 0.9236, son cours le plus bas depuis le 8 décembre, jusqu'à 0.9276 en première partie de séance européenne, ne trébuchant plus que de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9197, son plancher du 6 décembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9329, son plafond du 25 novembre.
Des résultats officiels avaient auparavant indiqué que les nouvealles commandes auprès des industries avaient diminué en novembre, bien que leur chute ait été moins importante qu'il n'avait été craint.
La devise européenne avait auparavant été encouragée par une étude préliminaire montrant que l'activité manufacturière régionale avait réalisé pour janvier sa croissance la plus rapide depuis août, apaisant l'angoisse des conséquences du problème du surendettement sur son économie.
Les acteurs des marchés avaient toutefois été rendus nerveux par les ministres des finances de la zone euro, demandant aux détenteurs privés d'obligations d'abandonner leur exigence d'un taux de 4% appliqué aux nouveaux bons du trésor qu'ils obtiendraient en échange des anciens.
La nation hellène a déclaré ne pas être prête à payer plus que 3.5%, soutenue en cela par l'Union Européenne et le Fonds Monétaire International.
La devise helvétique a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain à la monnaie unique, l'EUR/CHF cédant 0.07% pour glisser à 1.2062.
Jean-Pierre Danthine, membre du conseil directeur de la Banque Nationale Suisse, devrait prendre la parole dans l'après-midi.
Les ministres des finances de l'Union Européenne avaient quand à eux prévu de tenir à Bruxelles de nouveaux pourparlers tout au long de la journée.