Investing.com - Le dollar U.S. s'est élevé vers un pic des huit dzerniers jours face au franc suisse ce lundi, l'angoisse à l'orée de la date limite de l'acceptattion ou non par la Grèce des conditions du nouveau plan de sauvetage encourageant la demande pour les valeurs sûres.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9263 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 25 janvier, puis s'est stabilisée vers 0.9252, engrangeant 0.76%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9175, son plancher du 8 décembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9311, son plafond du 24 janvier.
Les observateurs étaient sur les dents alors que les dirigeants politiques grecs doivent en effet décider aujourd'hui si ils acceptent ou non les conditions imposées par leurs bailleurs de fonds internationaux d'ici 11 h, heure locale, afin d'avoir accès au plan d'aide à hauteur de 130 milliards d'euros.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition avaient accepté certaines conditions, mais que d'autres restaient à traiter.
Un accord d'échange de dettes avec ses créanciers reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides d'urgence et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
La devise helvétique a par contre gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.16% pour descendre à 1.2063.
L'institut de recherches économiques Sentix a pour sa part annoncé ce matin que son indice de la confiance de des investisseurs était remonté de 10 points vers -11.1 pour le mois, après avoir plongé jusqu'à -21.1 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir prendre plus de 6.8 points pour s'établir à -14.3 sur la période considérée.
La paire USD/CHF est descendue jusqu'à 0.9263 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 25 janvier, puis s'est stabilisée vers 0.9252, engrangeant 0.76%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.9175, son plancher du 8 décembre, et de rencontrer de la résistance à 0.9311, son plafond du 24 janvier.
Les observateurs étaient sur les dents alors que les dirigeants politiques grecs doivent en effet décider aujourd'hui si ils acceptent ou non les conditions imposées par leurs bailleurs de fonds internationaux d'ici 11 h, heure locale, afin d'avoir accès au plan d'aide à hauteur de 130 milliards d'euros.
Lucas Papademos, premier ministre du pays, avait déclaré en fin de semaine que les membres du gouvernement de coalition avaient accepté certaines conditions, mais que d'autres restaient à traiter.
Un accord d'échange de dettes avec ses créanciers reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides d'urgence et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
La devise helvétique a par contre gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/CHF trébuchant de 0.16% pour descendre à 1.2063.
L'institut de recherches économiques Sentix a pour sa part annoncé ce matin que son indice de la confiance de des investisseurs était remonté de 10 points vers -11.1 pour le mois, après avoir plongé jusqu'à -21.1 lors du précédent.
Les experts ne s'étaient pourtant pas attendus à le voir prendre plus de 6.8 points pour s'établir à -14.3 sur la période considérée.