Investing.com - La livre sterling a pris le dessus face au dollar U.S. ce lundi, mais son avancée restait limitée par les angoissées liées aux perspectives de croissance mondiales, qui continuaient à assombrir l'atmosphère suite à des résultats économiques décevants.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.551 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5505, prenant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5428, son plancher du 7 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.5581, son plafond du 11.
Le moral demeurait fragilisé après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
Il était également signalé que le taux de chômage national s'était maintenu à 8.2% dans le même temps, conformément aux prédictions.
Des études gouvernementales faisaient quand à elles savoir ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la Chine s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande marge de manoeuvre pour assouplir sa politique monétaire.
La surprenante diminution des taux d'intérêt chinois de la semaine dernière avait déjà aggravé l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de la seconde économie mondiale.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après que les membres du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre aient déclaré jeudi: "Les probabilités de ralentissement de l'inflation du pays entraînent une marge de manoeuvre plus grande et plus durable."
Ils avaient auparavant voté une augmentation de 50 milliards de GBP du volume de ses achats d'actifs, pour ainsi lui faire atteindre les 375 milliards, afin de tenter d'isoler l'économie nationale des conséquences du problème du surendettement européen.
Le taux de base est quand à lui resté sans surprise stable aux 0.5% adoptés depuis mars 2009.
La monnaie du Royaume-Uni a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.7936.
La journée verra la publication d'un baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro, tandis que Mario Draghi, président de la BCE, témoignera devant le parlement européen.
Les observateurs guettaient aussi la réunion des ministres des finances du bloc euro devant avoir lieu aujourd'hui, afin de discuter du plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.551 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5505, prenant 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5428, son plancher du 7 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.5581, son plafond du 11.
Le moral demeurait fragilisé après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
Il était également signalé que le taux de chômage national s'était maintenu à 8.2% dans le même temps, conformément aux prédictions.
Des études gouvernementales faisaient quand à elles savoir ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la Chine s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande marge de manoeuvre pour assouplir sa politique monétaire.
La surprenante diminution des taux d'intérêt chinois de la semaine dernière avait déjà aggravé l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de la seconde économie mondiale.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après que les membres du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre aient déclaré jeudi: "Les probabilités de ralentissement de l'inflation du pays entraînent une marge de manoeuvre plus grande et plus durable."
Ils avaient auparavant voté une augmentation de 50 milliards de GBP du volume de ses achats d'actifs, pour ainsi lui faire atteindre les 375 milliards, afin de tenter d'isoler l'économie nationale des conséquences du problème du surendettement européen.
Le taux de base est quand à lui resté sans surprise stable aux 0.5% adoptés depuis mars 2009.
La monnaie du Royaume-Uni a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour glisser à 0.7936.
La journée verra la publication d'un baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro, tandis que Mario Draghi, président de la BCE, témoignera devant le parlement européen.
Les observateurs guettaient aussi la réunion des ministres des finances du bloc euro devant avoir lieu aujourd'hui, afin de discuter du plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.