Investing.com - L'euro est à nouveau cédé du terrain au dollar U.S. ce lundi matin, ce dernier restant paradoxalement renforcé par les chiffres de vendredi laissant redouter une perte de vitesse de la relance de l'emploi aux Etats-Unis.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.303 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.305, trébuchant de 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2996, son plancher de la journée de cotation précédente, et de rencontrer de la résistance à 1.3189, son plafond de jeudi.
Une étude officielle a en effet constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Le billet vert profitait du coup que le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré la veille que ses dirigeants commençaient à envisager de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne trébuchant que de 0.01% pour glisser à 0.813, mais s'est retrouvée en difficulté par rapport au yen, l'EUR/JPY dérapant de 0.5% pour glisser à 114.62.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.303 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.305, trébuchant de 0.14%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2996, son plancher de la journée de cotation précédente, et de rencontrer de la résistance à 1.3189, son plafond de jeudi.
Une étude officielle a en effet constaté 155 000 créations de postes pour décembre, soit un peu plus que les 150 000 espérées, mais moins que les 161 000 après révision à la hausse précédents, laissant redouter un ralentissement de la reprise du marché de l'emploi, le taux de chômage stagnant à 7.8%.
Le billet vert profitait du coup que le compte-rendu de la prise de cap effectuée le mois dernier par la Réserve Fédérale ait montré la veille que ses dirigeants commençaient à envisager de mettre fin aux injections de liquidités plus tôt que prévu.
La monnaie unique a par ailleurs bien résisté à la livre sterling, l'EUR/GBP ne trébuchant que de 0.01% pour glisser à 0.813, mais s'est retrouvée en difficulté par rapport au yen, l'EUR/JPY dérapant de 0.5% pour glisser à 114.62.
Les autorités européennes comptaient pour leur part divulguer aujourd'hui leur inflation des prix à la production, ainsi qu'un rapport sur la confiance des investisseurs.