Investing.com - Les places d'Asie étaient largement en forme ce mercredi matin, les yeux étant tournés vers les conclusions de la réunion d'orientation de la Réserve Fédérale d'aujourd'hui.
Les négociations entre élus américains destinées à éviter la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis étaient aussi à l'ordre du jour.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.7%, l'ASX/200 australien 0.2% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Tokyo a grimpé vers son plus haut niveau depuis le 2 avril, les grands noms de l'exportation surfant sur la vague d'affaiblissement du yen.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 10% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie nationale renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Cette dernière demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre, qui avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les fournisseurs d'électronique grand public sony et Canon engrangeaient respectivement 3 et 2.6%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Toyota avec 1.3 et 0.85%.
Hong Kong se hissait de son côté vers un sommet de 16 mois, la finance et les promoteurs immobiliers en tête de peloton.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 1.3%, la Bank of China de 1.8% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.5%.
Sydney culminait de son côté à son meilleur niveau en 17 mois, ses entreprises spécialisées dans les matières premières profitant des hausses des cours de celles-ci.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP empochaieent du coup 1 et 0.7%, l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metal Group les dépassant avec 1.65%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt stable, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français restant neutres, et celles sur le DAX 30 allemand aussi, tandis que celles sur le FTSE 100 britannique n'évoluaient guère.
La zone euro comptait de son côté diffuser à la mi-journée les chiffres de sa production industrielle.
Les négociations entre élus américains destinées à éviter la catastrophe budgétaire menaçant les Etats-Unis étaient aussi à l'ordre du jour.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.7%, l'ASX/200 australien 0.2% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
La prise de cap de la banque centrale américaine de la fin de journée reste en effet au centre des débats, sur fond de probabilités d'une poursuite des accommodements destinés à encourager l'économie américaine.
Beaucoup s'attendent à ce qu'elle décide de procéder tous les mois à des acquisitions d'obligations à hauteur de 45 milliards d'USD, qui s'ajouteraient à chaque fois aux 40 milliards en titres sécurisés adossés à des hypothèques annoncés en septembre.
L'attention restait aussi concentrée sur le spectre du mur fiscal des Etats-Unis, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires devant représenter un total d'environ 600 milliards d'USD, à moins que les élus et la Maison Blanche ne surmontent leurs divisions pour arracher un compromis au cours des trois semaines précédant la date fatidique.
Tokyo a grimpé vers son plus haut niveau depuis le 2 avril, les grands noms de l'exportation surfant sur la vague d'affaiblissement du yen.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 10% au cours des quatre semaines écoulées, les entreprises tournées vers l'extérieur en tête, l'affaiblissement actuel de la monnaie nationale renforçant leurs perspectives de revenus à l'étranger.
Cette dernière demeurait encore sur la sellette, dans l'expectative d'une victoire de Shinzo Abe, chef de l'opposition et du parti libéral démocrate, lors des élections législatives du 16 décembre, qui avait récemment déclaré que la Banque du Japon devrait procéder à des accommodements illimités jusqu'à ce que l'inflation atteigne les 2%.
Les fournisseurs d'électronique grand public sony et Canon engrangeaient respectivement 3 et 2.6%, suivis des constructeurs automobiles Honda et Toyota avec 1.3 et 0.85%.
Hong Kong se hissait de son côté vers un sommet de 16 mois, la finance et les promoteurs immobiliers en tête de peloton.
La China Construction Bank s'est ainsi élevée de 1.3%, la Bank of China de 1.8% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur national, de 1.5%.
Sydney culminait de son côté à son meilleur niveau en 17 mois, ses entreprises spécialisées dans les matières premières profitant des hausses des cours de celles-ci.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP empochaieent du coup 1 et 0.7%, l'extracteur de minerai de fer Fortescue Metal Group les dépassant avec 1.65%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt stable, les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.1%, celles sur le CAC 40 français restant neutres, et celles sur le DAX 30 allemand aussi, tandis que celles sur le FTSE 100 britannique n'évoluaient guère.
La zone euro comptait de son côté diffuser à la mi-journée les chiffres de sa production industrielle.