Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, l'escalade de la violence en Libye faisant flamber les prix du brut et poussant les investisseurs à se réfugier auprès de valeurs sûres comme le franc suisse et le yen.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.17% pour grimper à 1.3771.
Les plus grosses banques avaient auparavant prévenu que l'OPEP devait rapidement agir pour contrer l'envolée des prix du pétrole au cas où les troubles devaient s'étendre au-delà de la Libye, vers les principaux producteurs.
Le billet vert a toutefois gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.17% pour glisser à 1.6182.
Un rapport d'acteurs du secteur avait montré dans la matinée que les ventes au détail en Grande-Bretagne avaient davantage faibli en février que prévu, tombant à leur pire niveau depuis juin.
Il a d'autre part nettement subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 0.84% pour se retrouver à 81.82 et l'USD/CHF glissant de 0.68% pour tomber à 0.9267.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.59% pour aller vers 0.9834, l'AUD/USD raflant 0.4% pour monter à 1.0062 et le NZD/USD engrangeant 0.14% pour culminer à 0.7465.
Une étude australienne avait indiqué en début de journée que les investissements dans les entreprises avaient bondi vers des sommets au cours du dernier trimestre 2010 et que l'indice des signaux économiques avait progressé en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux publier aujourd'hui des résultats portant sur les commandes de biens durables, les nouvelles inscriptions au chômage et les ventes de logements neufs.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.17% pour grimper à 1.3771.
Les plus grosses banques avaient auparavant prévenu que l'OPEP devait rapidement agir pour contrer l'envolée des prix du pétrole au cas où les troubles devaient s'étendre au-delà de la Libye, vers les principaux producteurs.
Le billet vert a toutefois gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.17% pour glisser à 1.6182.
Un rapport d'acteurs du secteur avait montré dans la matinée que les ventes au détail en Grande-Bretagne avaient davantage faibli en février que prévu, tombant à leur pire niveau depuis juin.
Il a d'autre part nettement subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 0.84% pour se retrouver à 81.82 et l'USD/CHF glissant de 0.68% pour tomber à 0.9267.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.59% pour aller vers 0.9834, l'AUD/USD raflant 0.4% pour monter à 1.0062 et le NZD/USD engrangeant 0.14% pour culminer à 0.7465.
Une étude australienne avait indiqué en début de journée que les investissements dans les entreprises avaient bondi vers des sommets au cours du dernier trimestre 2010 et que l'indice des signaux économiques avait progressé en décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux publier aujourd'hui des résultats portant sur les commandes de biens durables, les nouvelles inscriptions au chômage et les ventes de logements neufs.