Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé le sourire ce mardi après-midi, malgré des résultats régionaux peu glorieux, les yeux rivés sur le coup d'envoi imminent de la saison des résultats américains.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.56%, le CAC 40 français 0.72%, et le DAX 30 allemand 0.22%.
Il avait en effet été signalé ce matin que le taux de chômage de la zone euro s'était élevé de 11.7 à 11.8% en novembre, établissant sans surprise un nouveau record et jetant une ombre sur ses perspectives de croissance.
Les commandes auprès des usines allemandes ont quand à elles reculé de 1.8% dans le même temps au lieu des 1.4% déjà redoutés, reflétant une demande extérieure en déclin.
Il a d'autre part été souligné que les ventes au détail de la région n'avaient arraché que 0.1% sur une période identique, au lieu des 0.3% espérés après les 0.7% de dérapage précédents.
La nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait aussi largement palpable.
La finance reprenait du poil de la bête, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 2.61 et 3.62%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank leur emboîtaient le pas avec 2.29 et 1.58%.
Il en était de ême à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit grimpant de 1.14 et 3.03%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.21 et 0.95%.
Il était aussi à noter que Royal KPN NV, premier opérateur téléphonique néerlandais, a quand à elle pris 2.51% après que le Macquarie Group en ait relevé l'appréciation, ses performances dépassant ses attentes après y avoir été inférieures.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.28%, tiré vers le haut par des établissements bancaires empruntant le chemin tracé sur le continent.
La City voyait donc Lloyds Banking empocher 1.31%, la Royal Bank of Scotland 2.16%, et Barclays 2.52%, tandis que HSBC Holdings sombrait à contre-courant de 0.5%.
Le géant des télécommunications Vodafone a pour sa part raflé 2.54% après que Lowell McAdam, directeur général de Verizon, ait affirmé hier au quotidien Wall Street Journal que son entreprise était assez forte pour recheter ses parts de Verizon Wireless.
Les deux poinds lourds s'étaient en effet associées en 2000 pour créer cette dernière, le premier en détenant 45% et le second 55%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cependant souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.64 et 0.58%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.55 et 0.79%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles globalement stables: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 tablant sur un rétraction de 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un frémissement de 0.01%.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait pour sa part affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.56%, le CAC 40 français 0.72%, et le DAX 30 allemand 0.22%.
Il avait en effet été signalé ce matin que le taux de chômage de la zone euro s'était élevé de 11.7 à 11.8% en novembre, établissant sans surprise un nouveau record et jetant une ombre sur ses perspectives de croissance.
Les commandes auprès des usines allemandes ont quand à elles reculé de 1.8% dans le même temps au lieu des 1.4% déjà redoutés, reflétant une demande extérieure en déclin.
Il a d'autre part été souligné que les ventes au détail de la région n'avaient arraché que 0.1% sur une période identique, au lieu des 0.3% espérés après les 0.7% de dérapage précédents.
La nervosité découlant des tractations visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait aussi largement palpable.
La finance reprenait du poil de la bête, les français BNP Paribas et Société Générale engrangeant respectivement 2.61 et 3.62%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank leur emboîtaient le pas avec 2.29 et 1.58%.
Il en était de ême à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit grimpant de 1.14 et 3.03%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.21 et 0.95%.
Il était aussi à noter que Royal KPN NV, premier opérateur téléphonique néerlandais, a quand à elle pris 2.51% après que le Macquarie Group en ait relevé l'appréciation, ses performances dépassant ses attentes après y avoir été inférieures.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.28%, tiré vers le haut par des établissements bancaires empruntant le chemin tracé sur le continent.
La City voyait donc Lloyds Banking empocher 1.31%, la Royal Bank of Scotland 2.16%, et Barclays 2.52%, tandis que HSBC Holdings sombrait à contre-courant de 0.5%.
Le géant des télécommunications Vodafone a pour sa part raflé 2.54% après que Lowell McAdam, directeur général de Verizon, ait affirmé hier au quotidien Wall Street Journal que son entreprise était assez forte pour recheter ses parts de Verizon Wireless.
Les deux poinds lourds s'étaient en effet associées en 2000 pour créer cette dernière, le premier en détenant 45% et le second 55%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières cependant souffert, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondant de 0.64 et 0.58%, suivis des cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.55 et 0.79%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles globalement stables: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.05%, celles sur le S&P 500 tablant sur un rétraction de 0.01% et celles sur le Nasdaq 100 envisageant un frémissement de 0.01%.
Taro Aso, ministre des finances du Japon, avait pour sa part affirmé à l'aube que ce dernier achèterait des titres émis par le Mécanisme Européen de Stabilité afin de contribuer à calmer l'effervescence régionale.